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Dernière mise à jour 10/11/2024
Nous nous sommes retrouvés une trentaine au manoir de Limoëlou (terre chauve en breton) dédié à Jacques Cartier depuis 1984 (450 ans après la découverte du Canada).
Visite du musée Jacques Cartier né à Saint-Malo en 1494, décédé en 1557, il est l’un des explorateurs européens du XVIème siècle.
Sous le règne de François 1er il va faire trois voyages au Canada. Il était à la recherche de richesses et d’un passage vers l’Asie. Ses trois bateaux : « la Grande Hermine » - « la Petite Hermine » et « l’Emerillon ». Découverte du Canada en 1534.
Ce musée évoque la vie quotidienne de notre illustre propriétaire, de la cuisine à la chambre nous découvrons des meubles sculptés, une cheminée avec une plaque ornée d’une salamandre (emblème de François 1er)
Notre guide nous présente les instruments « Marine » utilisés par le navigateur : le bâton de Jacob (latitude), le loch et ses nœuds pour calculer la vitesse du bateau, le Renard pour indiquer sa position et l’astrolabe ancêtre du sextant.
Avant de quitter le musée nous admirons le buste de Jacques Cartier et un tableau en bois orné de magnifiques sculptures. Nous avons passé un agréable moment avec nos deux charmantes guides.
Nous nous dirigeons ensuite vers la brasserie de la pointe du Grouin, repas chaleureux, menu délicieux avec serveurs très agréables. Pour cette visite le soleil était présent sur ce site fraîchement réaménagé.
Notre périple se termine par la Chapelle du Verger du 19ème siècle mais la première a été construite en l’an mil : implantation exceptionnelle dominant la plage du Verger on l’appelle aussi « la chapelle de la mer ». A l’intérieur des ex-votos, des superbes vitraux de 1910 à 1913 de Charles Lorin peintre verrier à Chartres. Cette chapelle est très appréciée des Cancalais et fréquentée par les femmes de marins.
Merci à Marie-France pour l’organisation de cette journée appréciée par tous les participants, à Gisèle pour ce compte-rendu fidèle à la journée et à Claire pour les photos.
13 personnes acceptent d’affronter le circuit composé de sentiers glissants à travers différentes parcelles dans un massif forestier appelé forêt de Rennes mais en fait faisant partie de la commune de Liffré. Superficie de 3000 hectares bordant le bassin de Rennes. Au 18eme siècle la forêt était exploitée pour le bâtiment à la suite de l'important incendie de Rennes en 1720. Une foule d’artisans y habitait. 1864 reboisement en pins sylvestres mais beaucoup de feuillus existent. Du parking, un petit sentier rejoint la route forestière des Ruisselets que nous franchissons pour prendre un sentier tortueux suivant un ruisseau et débouchant sur la ligne forestière du Grand Coin. Quelques mètres dans cette allée et nous rentrons dans un bois parsemé de remarquables hêtres et de houx.
Nous retrouvons l’allée du Grand Coin pour suivre l’orée de la forêt et prendre le sentier GR 39. Nous devons suivre strictement le balisage du GR pour déboucher sur l'allée cavalière de Betton. Quelques mètres et nous longeons la rive droite de la Caleuvre Nous franchissons le pont de la route forestière des Juteauderies et continuons sur la rive droite du ruisseau en sautant quelques petits fossés parmi une parcelle de sapins. Nous traversons la route du Grand Coin. Le sentier s’écarte du cours d'eau traverse un bosquet puis des fourrés.
Nous arrivons sur l’aqueduc que nous suivons pendant 1.8 km. Large trouée avec de grosses buttes de terre. C’est le tracé de la première canalisation qui ravitaille Rennes en eau établie il y a 200 ans à partir d’une rivière La Minette.
La fatigue du groupe se fait sentir. Soulagement en apercevant l’abri en bois nommé LOGE à ROUGEAIS avec tables pique-nique. Des chevaliers servants se sont dévoués pour aller chercher quelques gâteries et boissons bien mérités dans les coffres de voitures.
C'est la dernière marchapié de la saison, nous sommes 21 à ce rendez-vous près de l'église.
Pourquoi le Rheu, cité jardin inspiration de Gaston Bardet (1907-1989). Il a vécu au Rheu en 1957, il était architecte et urbaniste et encouragé par le Maire du Rheu, Jean-Paul Chatel, il veut maîtriser les constructions et le développement urbain et créer des logements pour les ouvriers.
Nous parcourons différents sentiers, le soleil est bien présent mais à travers le circuit entre les jardins, les haies, les arbres, l'ombre est présente. Nous longeons les différentes structures du Rheu : cimetière, terrains de foot, rugby.
Cette marchapié est propice pour initiés les participants au balisage rencontré : jaune avec les croix, les barres de différentes couleurs, etc…
Nous atteignons le bois de la motte : 22 hectares, fermé pendant trois ans par suite des différentes tempêtes et donc fragilisé. Des bornes nous informent sur la richesse des lieux. Ici il existe une espèce très rare de chauve-souris : Le rhinolophe. A notre disposition des panneaux où sont affichés des poèmes très mélancoliques de Michel Patin, sur l'hiver, l'automne, le manque de soleil….
Nous arrivons aux abords du Lycée Théodore Monod qui collabore avec l'Institut National de Recherche agronomique (INRA)
Le Rheu est une petite ville très bien fleurie et les abords routiers sont agrémentés par des plantes variées et très colorées. Compliments aux jardiniers.
Notre marchapié se termine et nous nous dirigeons vers le bar le "Ty Gwen" ou nous sommes bien accueillis par le patron. Merci à tous les participants pour les différents gâteaux et sucreries qui ont été très appréciés comme d'habitude
Bel été à tous et merci d'avoir contribué à la bonne marche de toutes ces sorties grâce à votre sympathie et votre bonne humeur.
Le prochain rendez-vous aura lieu le 12/09/2024 avec Jeanine sur le parking du château Hédé Bazouges pour les jardins d'Anna.
C'était le D-Day ! Mais, nous étions 18 qui, réunis dans le port de Trébeurden, avions résolument choisi les côtes bretonnes, plutôt que les plages normandes. Le petit groupe était constitué de gens gais, faciles à vivre et, disons-le tout net, ne comportait « aucun grognon » ! Nous étions venus pour un mini-séjour de quatre journées, organisé dans le cadre de Marchapié, dont les objectifs auraient pu être résumés sous le sigle A.N.R. (Amitié, Nature et Rigolade). Le séjour commença par une traversée à pied vers l'île Milliau, accessible seulement à marée basse. Gisèle nous apprit (entre autres) que l'avocat et homme politique Aristide Briand, onze fois président du Conseil, aimait venir s'y reposer, dans la propriété de sa compagne Lucie Jourdan. Il en appréciait, disait-il, le calme et la paix. D'ailleurs, pour ce qui est de la paix, il obtint le prix Nobel en 1926.
Retour pour un agréable pique-nique sur le port, puis convoi en direction de l'hôtel L'Écume de Mer. C'était facile, puisqu'il était situé non loin de la plus haute construction de Trébeurden, constituant dans le paysage un repère de premier ordre. Là, Joëlle, notre hôtesse, nous attendait. C'était une hôtelière atypique. À 62 ans, elle faisait passer les relations humaines avant le commerce pur et dur, et poussa l'empathie jusqu'à écraser une larme au moment de notre départ. Une mention aussi pour sa mère, Jacqueline, qui, âgée de 86 ans, participait activement au service.
Le vendredi, au port de Perros-Guirec, embarquement en vedette vers l'archipel des Sept-Îles. N.B. : si les Trois Mousquetaires étaient quatre, les Sept-Îles sont cinq. C'est comme ça ! Elles constituent une réserve ornithologique, où s'ébattent 12 espèces d'oiseaux marins et 27 espèces d'oiseaux nicheurs. Nuance ! Nous passons au large de chacune des îles, nous attardant devant celle de Rouzic, qui connaît un monde fou. Elle sert, en effet, d'asile à 11 592 couples de fous de Bassan. Et, quand le guide annonça au micro que le mâle et la femelle restaient fidèles pour la vie, un frisson d'effroi parcourut l'assistance. Certains pensèrent d'ailleurs que le nom du fou lui venait de ce curieux phénomène.
Déjeuner à l'hôtel, puis départ pour une randonnée de 7,5 km, autour de l'Île-Grande. Il s'agit en réalité d'une presqu'île d'où fut longtemps extrait du granit rose, notamment au Moyen Âge pour l'édification de la cathédrale de Tréguier. Au XXe siècle un petit train à vapeur avait même été installé pour transporter les blocs de pierre. Au retour, langoustines au dîner, puis, comme chaque soir, un petit groupe ressortit pour assister au coucher de soleil sur la mer.
Le samedi, convoi vers Trégastel et la plage du Coz-Pors, départ du tour de l'île Renote, qui est, elle aussi une presqu'île. Émerveillement devant les impressionnants chaos de granit rose au formes et aux positions étonnantes, où nous mena Huguette, notre guide habituelle. Sans prêter attention aux rieurs, qui disent que c'est précisément dans le chaos qu'elle est la meilleure.
Joyeux pique-nique sur la plage, puis rando vers Ploumanac'h. Là, nous est signalé un petit édifice sur la côte. En effet, un propriétaire auquel la municipalité refusait le permis de construire un garage, eut l'habileté de contourner l'obstacle. Il déposa une demande de permis de construire... une chapelle. Et, l'ayant obtenu sans difficulté, il fit construire l'édifice, qui ne fut jamais consacré. Ou, du moins qu'il consacra désormais au garage de sa voiture ! Une façon habile de concilier le Ciel avec l'essieu.
Le dimanche, départ de l'hôtel vers la petite cité médiévale de Moncontour. Bâtie sur un promontoire rocheux, on la qualifiait jadis de place forte du Penthièvre. Aujourd'hui, elle possède de beaux restes, qui ont occupé la fin de notre matinée. Cependant, à l'issue d'un bon déjeuner, pris dans un restaurant de l'endroit, il fallut bien se séparer. Les 18, à l'unanimité, ont alors dressé un bilan en tous points positif du séjour. Tout avait été soigneusement organisé par Claire et Michel. Quant à la météo, qu'on ne maîtrise pas, elle s'était montrée radieuse. Alors, chapeau bas !
Merci à Jean Pierre pour cette jolie balade virtuelle.
Prochaine rando : le 20 juin, proposée par Huguette, pour la Rance fluviale. Rendez-vous à 10 heures sur le parking du port du Lyvet (commune de La Vicomté-sur-Rance)
Nous sommes 11 à quitter le parking de Joval à Acigné pour le chemin de la ronde, randonnée inaugurée le 28 mai 2023. C'est une jolie balade à la croisée de la rando et de la marche en ville. Elle relie les différents espaces naturels de la commune.
Notre chemin nous conduit vers les jardins familiaux très bien entretenus. Des photos installées sur notre parcours attirent notre attention surtout l'une d'elle très touchante (la mère et l'enfant). Par contre l'œuvre des 10 éléments, hauts sujets de miroirs dissimulés dans la nature est surprenante.
Nous randonnons au bord de cours d'eau et faisons une pause à la confluence de la Vilaine et du Chevré appelé aussi la Veuvre.
A l'entrée du centre-ville, rue Saint-Georges nous nous arrêtons devant une longère aux volets verts, elle se compose de 4 parties de trois époques différentes (du 18ème, 19ème et 20ème siècle) c'est une très belle rénovation.
Plus loin la porte de l'église est ouverte et nous invite à rentrer pour découvrir la chaire en bois sculptée et son magnifique retable.
Nous poursuivant la boucle en passant par le canoé kayak club qui offre aux petits et grands une expérience unique au fil de l'eau et au rythme tranquille de la Vilaine.
Après 8.5 km nous sommes de retour à l'espace Joval, site destiné à accueillir des artistes et des associations de loisirs créatifs et en plus un coin pique-nique. C'est un bel endroit pour notre goûter habituel.
Savez-vous comment s'appelle les habitants d'Acigné ? : les Acigniens, les Acignois et non les Acignolais.
Prochain rendez-vous le 20 juin 2024 avec Huguette sur le parking du port du Lyvet à 10 h (apportez votre pique-nique).
Réunis sur un petit parking de Cleunay, nous étions vingt-deux, bien décidés à effectuer une traversée de Rennes en diagonale. Mais, « ce n’était pas gagné ! » Car, les services de Météo-France n'étaient guère optimistes. Eh, bien, ce jour-là (une fois n'est pas coutume), nous avons eu de la chance.
Nous commençons donc par rejoindre les rives de la Vilaine au moulin du Comte, dont la jolie maison éclusière, ornée de glycines, évoque un décor d'opérette. Nous traversons le fleuve et progressons sous les arbres de sa rive droite, jusqu'à la confluence avec l'Ille. Là, nous faisons un petit crochet pour nous rendre spécialement dans le petit jardin, dit de la Confluence, majoritairement arboré de Cyprès chauves. Puis, nous passons au bas du parc de la maison Saint-Cyr, et traversons l'Ille pour cheminer dans le sentier de sa rive gauche. Parvenus à Bourg-l'Évêque, nous nous arrêtons un instant devant les arcades d'un cloître, curieusement bâti dans le square Guy Houist. Il provient de l'ancien couvent des Visitandines du Colombier, où il fut démonté, avant la construction à cet endroit une caserne (1833), laquelle fit place, à son tour (à partir de 1966), à l'ensemble immobilier du Colombier.
Ayant traversé le canal d'Ille-et-Rance, nous arrivons au bas de la place des Lices. Puis, nous nous arrêtons devant la porte Mordelaise. C'était, au temps des fortifications, la porte principale de la ville, par laquelle la duchesse Anne fit son entrée solennelle, le 10 février 1489, pour être sacrée en la cathédrale. Et, ce fut, de fait, une sacrée duchesse qui, seule dans l'Histoire, fut couronnée deux fois reine de France. Et, nous constatons qu'une promenade est en cours d'aménagement de la porte Mordelaise à la place de la Mission, qui mettra en valeur les remparts du IIIe siècle. Puis, le groupe choisit d'entrer dans la cathédrale, pour y admirer, entre autres, le retable polychrome flamand du début du XVIe siècle, comprenant 80 personnages finement sculptés. Par sa richesse, l'ensemble de la salle du trésor retient notre attention. Et notamment, celle de notre trésorière, comme de juste.
Nous admirons les maisons à colombage du vieux Rennes, puis nous passons devant l'église Saint-Sauveur dont le compositeur Gabriel Fauré fut un temps l'organiste. Devant le palais du parlement de Bretagne, mention d'une petite anomalie au sud-est de la place, dans la belle ordonnance des façades. Puis, au 4 de la rue Saint-Georges, nos amies des Chèques postaux découvrent le premier bâtiment affecté à Rennes chèques, lors de sa création, le 1er octobre 1920. Plus loin, la piscine Saint-Georges décorée de mosaïques par Isidore Odorico, fut, en 1926, le deuxième établissement municipal de ce type créé en province. Enfin, parvenus dans le jardin du Thabor, nous choisissons une allée de rhododendrons encore en fleurs. Là, nous investissons une série de bancs qui nous tendaient les bras, et entamons un agréable pique-nique, panaché d'une profusion de desserts partagés.
En repartant, nous contournons le jardin botanique et la roseraie, dont les premières fleurs s'épanouissent opportunément. Puis, quittant le Thabor, nous nous dirigeons vers le nord-est et un autre parc, celui de Maurepas, non sans avoir admiré la richesse et la variété des architectures dans les quartiers traversés. Puis ayant suivi le sentier qui sépare le collège des Gayeulles et le lycée Chateaubriand, nous passons près de l'ancienne ferme des Gallets pour parvenir aux étangs du parc des Gayeulles. Là, à l'issue d'une promenade de 10,5 km, le groupe juge qu'il est temps de retourner gaiement à la case départ. Et, comme le retour était initialement prévu par la ligne B du métro, indisponible, nous empruntons deux autobus successifs. Tandis que l'averse, qui menaçait depuis un moment, s'abat rapidement, pour nous permettre de partager au sec et sous un ciel serein, notre copieux goûter habituel, sur le parking.
Prochain RV: proposé par Janie et Henri, le prochain circuit aura lieu le 30 mai, à Acigné.
Sortie du bourg à droite au rond-point vers Joval – parking à 800 m
ASSEMBLEE GENERALE LE 28 mars 2024
Très agréable cette marchapié à Saint-Thurial avec ses bois, son barrage et son bourg pittoresque.
Le soleil a séché les sentiers mais malgré tout il faut se méfier, les rochers qui affleurent le sol sont encore très glissants….La nature est toujours aussi belle, le jaune des ajoncs et des pissenlits réveillent les sous-bois. Nous retrouvons la lathrée clandestine bleue qui rappelle les crocus.
Jadis il y avait des fours à chaux imposants qui employaient 25 personnes de 1856 à 1936. Nous arrivons au barrage de la Chèze, le ruisseau coule dans la vallée. En aval une grande partie fut barrée en 1977 pour former une retenue d'eau de 220 hectares Un pont romain superbement maçonné enjambe le ruisseau.
De retour au bourg nous observons un bâti en schiste rouge : le manoir du Herme (XVIème siècle) puis la maison aux statues arborant entre autres Saint Guen au trois seins, puis l'épicerie à la façade de bois (1860) et l'église Saint Thuriau.
Nous voilà de retour à notre point de départ, pour notre goûter sous le soleil, il fait si beau.
RDV le 11 avril 2024 avec Odile et Yannick pour le moulin de champcors (voir bulletin n° 71)
Le repas tête de veau a eu lieu à Cardroc restaurant Lucas. Nous étions 64 convives. Un car avait été mis pour le trajet vers notre lieu de destination (40 personnes en ont profité) avec un départ de Rennes (bd Magenta) et de Pacé.
Cette année une nouveauté les amateurs de danse ont pu se "défouler" sur la piste grâce à l'animateur Serge Brillard qui a su mettre l'ambiance.
A 17 H retour à la maison après une journée toujours appréciée qui sera remise à l'ordre du jour l'année prochaine.
Nous étions 19 randonneurs pour un périple d'un peu plus de 7 km dans cette magnifique campagne de la commune de Cardroc.
En ce début d'après-midi, la bruine démarre avec nous la balade, mais ne nous accompagne que quelques minutes ; et très vite fait place à l'éclaircie que nous attendions.
Nous prenons la direction de l'Etang de Pont-Perrin. Nous longeons cet étang, puis nous descendons dans la vallée. La commune en compte plusieurs toutes très propices à la randonnée.
A 14h25, deux magnifiques faisans s'envolent sous nos yeux. (Nous leur avions donné rendez-vous à cette heure précise afin que l'on puisse tous profiter du spectacle).
Nous poursuivons notre circuit au travers la campagne où le bâti en pierre est très présent. Sur le parcours, plusieurs maisons sont très caractéristiques de l'habitat du Pays de Bécherel (munies de portes cintrées). La plupart du temps, ces constructions ne comptent que deux ouvertures. Une entrée réservée aux hommes et l'autre au bétail. Différentes grilles de protection de fenêtres en fer forgé, typiques de la région, restent bien préservées et notamment au niveau du porche de la Croix Boissée.
D'ailleurs, c'est par là que nous terminons notre petite balade. Le calvaire de La Croix Boissée est situé dans la partie la plus ancienne du bourg ; il est en granit et est aussi appelé "petit cimetière » . Il rappelle les premiers lieux de sépultures de la paroisse.
17 h 00 : Petit (non ! gros) goûter réconfort.
Une fois n'est pas coutume : un homme -Jean-Pierre- nous a confectionné de succulents petits sablés, sucrés à la perfection, à demi enrobés de chocolat au lait. UN VRAI DELICE !!!
Alors, Messieurs, dorénavant : Aux Fourneaux !!!!
Prochain rendez-vous le jeudi 22 février 2024 avec Huguette – forêt de Rennes sur le parking de la petite lune – au rond-point du magasin Carrefour de Thorigné-Fouillard
Nous retrouvons notre guide, Dominique, place de l’hôtel de ville construite de 1734 à 1743 par Jacques Gabriel.
Nous faisons face à l’Opéra édifié entre 1832 et 1836 par Pierre Louise et dessiné par Charles Millarolet. Depuis 1993 l’inscription « Opéra » est inscrite sur le bâtiment. En bordure du toit 9 muses sont sculptées et au-dessus du A de l’opérA apparaît le dieu le plus beau : Apollon avec sa lyre. Des deux côtés de l’opéra, des galeries, architecture à la grecque dont le bar/brasserie « Le Piccadilly » créé en 1836.
Nous rentrons dans l’opéra et au premier étage nous arrivons dans la pièce « le foyer » où trône une cheminée en marbre et c’est l’espace le plus chaud, d’où son nom et on y sert des boissons chaudes. En 1856, incendie et le foyer est reconstruit à l’identique. Nous découvrons un miroir doré à la feuille d’or, le blason de Rennes, des peintures ornent la salle : des musiciens (Massenet – Liszt – Mozart) des masques ainsi que le biniou et la bombarde, des angelots. Sur la cheminée un buste de « Lucas » le mécène qui a aidé à la reconstruction de la salle.
Nous rentrons dans la salle de spectacle : une des plus petites de France (650 places assises). Avant 1999 il y avait 900 places mais c’était inconfortable. Le parterre, en face de la scène, places plus onéreuses, sur les côtés les baignoires (assez serrées), le poulailler en hauteur (places les moins chères) ce nom à cause des cocottes, des prostituées qui s’y trouvaient.
Théâtre à l’italienne : au plafond des danses bretonnes avec des costumes de Pont-Aven, du peintre Jean-Julien Le Mordant en 1913, des coquelicots, des bombardes. A cette époque on allait à l’opéra pour se montrer, défilé de mode et de coiffures.
De 1856 à 1858, sous Napoléon III, le second empire, la couleur rouge est à l’honneur suite à la Révolution française. Jean Janvier est le maire de Rennes à cette époque. En 1999 travaux pour la sécurité de l’opéra. De 1959 à 1970 le directeur de l’opéra de Rennes est Pierre Nougaro, père de Claude. Il était chanteur lyrique.
Très passionnante visite avec notre charmante guide
Notre visite de l’opéra est suivit du Street Art. Le circuit commence par la place St Germain, nous traversons ensuite la vilaine en empruntant la passerelle et arrivons rue Vasselot, puis nous regagnons le Colombier et le boulevard Beaumont : des couleurs diverses, des visages et beaucoup d’humour dans les fresques. Tout est peint, les murs le long de la voie ferrée, les pignons d’immeubles, les piliers et les portes. Ce sont de vrais artistes. Ce circuit nous a permis de réfléchir sur ces dessins que nous voyons fréquemment mais cette fois nous nous sommes attardés pour admirer ces œuvres.
Prochain RDV avec Colette le jeudi 18/01/2024 sur le parking face aux terrasses d’Apigné
Nous étions 11 à emprunter l’allée des papillons, joli nom qui présage une belle balade, Chantepie étant au cœur de la nature et parcourue par de nombreux petits chemins et cours d’eau.
Nous parcourons des sentiers boisés, passons devant un centre équestre et nous voilà dans le bois de Soeuvre qui se trouve sur la commune de Vern sur seiche. Ce bois est composé de feuillus principalement des hêtres et des chênes
Pas évident de se repérer dans ces sous-bois pleins de petits sentiers qui se ressemblent tous.
Puis, nous revenons vers Chantepie; Afin de baliser les différents parcours qui bordent le nouveau quartier des rives du Blosne, des sculptures ont été réalisées par Alain Marcon, l’artiste a voulu représenter la faune faisant partie des premiers habitants de cette zone humide : le martin pêcheur, la salamandre sont venus agrémenter ces nouveaux espaces.
Plus loin la façade du pôle petite enfance composée de multiples visages d’enfants constitue un mur souvenir, un mur mémoire joyeux et enthousiaste à l’image de la vie cantépienne.
Nous déambulons encore dans cet espace bien aménagé avant de rejoindre le centre-ville et déguster notre rituel goûter.
Rendez-vous le 14 décembre à Betton parking de l’écluse (place du marché) avec Colette
Le 25 septembre Marin GUERET fêtait ses 100 ans entouré de sa famille et de ses amis à la Rablais à ST Jacques de la Lande. Jean Claude, Madeleine et Sylvie de l'ANR 35 étaient aussi présents pour ce joyeux évènement. (cliquer sur la photo pour voir d'autres images)
Cintré est une petite ville de 2476 habitants. En partant de l’église nous empruntons de nombreux chemins de terre très bocagés.
Tout au long de la balade Colette nous invite à faire une pause pour nous hydrater, bon réflexe pour éviter les crampes et surtout souffler un peu…
La campagne est très belle, les maisons bien entretenues et les jardins fleuris. Près d’une ferme des petits veaux se reposent ou mangent dans leurs abris spécifiques pour eux. Notre passage les perturbe un peu mais ils apprécient nos caresses.
Plus loin de beaux jardins d’agréement et potagers attirent notre attention, de belles citrouilles se préparent pour halloween. Nous arrivons près d’un lavoir mais l’eau très trouble n’incite pas à faire une lessive. Dans une niche près de la fontaine Saint-Melaine se trouve une statue
Nous étions 18 marcheur(s) (euses) partis pour un circuit de 9 km et nous nous sommes retrouvés à 22, eh oui 3 amis plus le petit Marcel nous ont rejoint pour le goûter.
Merci Colette et Odile pour les bons gâteaux évidemment « fait maison » merci également pour les chocolats, bonbons, gâteaux secs….. comment voulez-vous garder la ligne avec toutes ces gourmandises !....mais c’est tellement agréable.
Rendez-vous le 26 octobre 2023 à 14 heures avec Gisèle sur le parking du Ponant à Pacé pour le circuit de la Foucherais.
Il n'y a que les retraités pour randonner quand les températures dépassent 32 degrés à l'ombre.
Si on le leur imposait ils n'y iraient pas. Mais que ne ferions-nous pas pour nous retrouver après cet été un peu bizarre !
Le groupe était un peu moins étoffé mais 13 marcheurs tout de même pour redécouvrir les 11 écluses d'Hédé. La guide du jour a un peu perdu le sens de l'orientation tout ça pour marcher à l'ombre. Nous avons juste parcouru un peu les bords de l’étang : ce n'est que partie remise. Après nos neuf kilomètres parcourus nous avons bien apprécié les boissons qui avaient eu la bonne idée de rester fraiches et le petit remontant qui allait avec.
Rendez-vous le 21 septembre au Verger – place de l’église – 14 H – avec Huguette
8 personnes bien motivées avec chaussures ne craignant l'eau de mer, pour la traversée à pied, à marée basse à partir de la pointe du Chevet en St Jacut vers les Ebihens.
Nous descendons un escalier abrupt suivi de quelques rochers pour atterrir sur le sable mouillé. Quelques minutes de marche, après avoir traversé des ruisseaux et nous sommes sur l’île privée des Ebihens occupée par quelques rares résidents qui ont le privilège de pouvoir pénétrer sur cette île.
Nous passons devant la tour Vauban construite entre 1694 et 1697. Cette tour sert de repère pour les marins égarés. On la voit plusieurs kms à la ronde.
Une belle balade à travers l’île nous permet de découvrir une lande parsemée de fleurs mais l'homme ne fait que passer car nous devons être très vigilants pour les horaires de retour. La mer montante n’attend pas les retardataires.
Le pique-nique est le bienvenu sur une belle plage ensoleillée parmi quelques rochers.
Retour à la pointe du Chevet et changement de chaussures pour affronter un morceau du GR 34 entre Chevet et château du Guildo avec nombreux belvédères pour admirer l'autre rive de l'Arguenon menant à Saint Cast.
En bordure de champ et en sous-bois nous surplombons la baie de l'Arguenon et surprise au détour d’un chemin niché dans un théâtre de verdure le célèbre château du Guildo.
Dans les années 1980 ce château était recouvert de broussailles. Des bénévoles et surtout un certain dentiste en retraite que j'ai eu la chance de rencontrer avec sa brouette, effectuent d’importants travaux de déménagement de pierrailles et végétation.
Aujourd'hui édifié début XIIIème siècle est protégé au titre des monuments historiques. Superficie 3200 m2. Le conseil général des Côtes d’Armor apporte de l'aide au défrichage.
Un travail de fouille s’effectue sur le site défrichage et différentes salles sont découvertes.
Ce château type médiéval fut souvent assiégé.
Après avoir flâné à l’intérieur de ce château nous retrouvons sur le parking du château nos voitures et nous nous dirigeons vers Le Bois Meen en Trigavou. Bolée de cidre et crêpes, c’est un gouter bien mérité.
Rendez-vous avec CLAIRE pour la dernière randonnée de la saison le mercredi 28 juin, place de l’église à Montgermont.
Marie-Thérèse a fêté ses 102 ans le 11 avril dernier. L'ANR35 lui renouvelle tous ses vœux. C'est toujours un très grand plaisir de lui rendre visite.
Visite de la maison des toiles et croisière sur le lac sans oublier le concours de boules!
C’est par un bel après-midi, digne du printemps, que 17 marcheuses et marcheurs sont partis de la ferme de la Biardais pour une boucle de 8 km.
Pour commencer, nous avons suivi un sentier aménagé à l’écart de la route, vers le lieu-dit Le Sermon (en pleine urbanisation).
En empruntant une petite route de campagne, nous avons croisé l’allée de la Haichois, d’où nous avons aperçu sur la droite le Château et à gauche, la partie désormais propriété du département et accessible à tous.
La construction de ce château commença en 1888 sur le site d’un ancien manoir du XVIIe siècle, pour le comte Odon de Toulouse-Lautrec (oncle du peintre) et son épouse Emilie de la Haichois. Il était construit au centre d’un parc à l’anglaise et possédait déjà une chapelle (1678) et un colombier (1780). Il comprenait également des écuries et une ferme. Il semblerait que le château, inoccupé, soit à vendre aux enchères et à rénover.
Chemin faisant, nous avons pu admirer des tapis de primevères, des ficaires (cousines du bouton d’or) et des touffes de narcisses et nous avons traversé de petits hameaux aux noms originaux, tels que le Châtelet, Caligné, la Noë Trouvé, Gagne-Pain, pour arriver à la ferme du château (réaménagée en deux demeures privées), puis à l’entrée du parc (à l’abandon) du château lui-même.
Après avoir longé les murs d’enceinte des écuries, nous sommes arrivés à la fontaine St Lunaire, recouverte d’une grille. Il est donc impossible d’en recueillir de l’eau, sensée guérir les maux oculaires !
Enfin, nous avons rejoint la Biardais, par des sentiers ombragés, dans une zone pavillonnaire, après avoir fait un détour, le long du Meu, qui disparait près de l’étang, pour passer sous la RN 24.
Après l’effort, le réconfort : nous ne pouvions nous quitter sans un petit moment très détendu et gourmand !
N’oublions pas le prochain rendez-vous à Orgères, le 6 avril 2023, avec Huguette !
Pour voir toutes les photos,
un petit clic ci-dessus.
Nous rentrons dans le Parc des Gayeulles côté « patinoire le Blizz ».
Sur notre gauche on peut admirer la fresque des artistes du Street- Art Rennais.
Cette partie du parc est implantée sur le site de l’ancien hippodrome (en service de 1884 à 1978) lui-même érigé sur d’anciens marécages.
Désormais on y trouve : terrains de jeux pour les enfants, de foot pour les plus grands et le camping municipal de la ville de Rennes avec ses « Citylodges » (cf : photos de Claire).
Nous ne nous éternisons pas dans ce parc car il nous faut filer vers le parc de Maurepas (injustement appelé Maurepas bien que situé dans le quartier de « Jeanne d’Arc »… !
Une nouvelle allée piétonne relie le parc des Gayeulles (côté rue Fougères) au parc de Maurepas (Bd de Vitré, lycée Chateaubriand).
Déception !!! Le chantier du « jardin chinois de Maurepas » que nous étions venus découvrir avait pris du retard …. Livraison prochaine ???
Ce projet de la « Fabrique Citoyenne » a été porté par le Comité de jumelage « Rennes-Jinan » et l’association les Agi’Thés composée de fans de thé. Sous leur impulsion, près de 600 théiers ont été plantés dans le « futur » jardin chinois au cœur du parc.
« Les théiers sont des « camélia sinensis », qui sont non florales, le climat humide de la Bretagne favorise la croissance des plantes » dixit Jean Pierre.
Cependant dans ce parc on y trouve des portiques et une pergola Art déco en béton. Pelouses, espaces boisés, haie d’ifs, de magnifiques arbres centenaires, piste cyclable pour les enfants, terrain de pétanque, piste de skate et de rollers sont des atouts de ce très joli parc.
C’est également le lieu de rencontre pendant les pauses de la semaine des 3 lycées qui l’entourent, le lycée Chateaubriand, le lycée Joliot-Curie et l’Assomption.
Nous continuons notre périple vers le parc Oberthür via le stade de Courtemanche. Complexe d’athlétisme entièrement rénové en vue des « Jeux de Paris 2024 ». Plusieurs athlètes de haut niveau s’entrainent pour les Jeux Olympiques 2024.
Nous arrivons au parc Oberthür.
Ce parc fut créé en 1863-1864 par Denis BÜhler futur dessinateur du Thabor, suivi par l’hôtel particulier conçu en 1869 par l’architecte parisien Gavet avec une façade néo-renaissance.
Réservé à la famille Oberthür, il devint propriété de la ville en 1960 et ouvert au public en 1977.
Le parc s’étend sur 3 hectares. En son centre une grande pièce d’eau entourée de pelouse et d’espaces boisés .Au sud se trouve un chalet et une « grotte » formée de blocs de pierre de Pont-Réan. Délimitant une aire de jeux, des totems d’animaux sculptés par MONsTR. On peut y apercevoir chat, coq, oiseaux, canard……..
Depuis 2017, le parc accueille une sculpture de Jacques Villeglé intitulée YES. Le mot anglais est souvent utilisé pour manifester l’approbation ou la joie également. Ce sont pourtant les symboles monétaires qui nous apportent une clé de lecture : le yen pour le Y, l’euro pour le E, et le dollar pour le S.
Une manière de porter un regard ironique et critique, non dénué d’humour sur l’importance de l’argent dans notre société contemporaine et sur le marché de l’art.
La journée se termine sous une pluie battante, et…. . Un goûter à l’ancien « Bar de l’hippodrome » des Gayeulles » !
Rendez-vous le 9 mars à Acigné avec Jany et Henri sous le soleil !
Nous étions 21 randonneurs pour un périple de 7 km environ dans cette magnifique campagne de la commune des Iffs.
En ce début d'après-midi, l'église (Saint Ouen du 15ème siècle) se trouvait ouverte. Nous nous permettons d'y entrer afin de découvrir un ensemble particulièrement important de magnifiques vitraux. Cette église est de style gothique et a la forme d'une croix de Lorraine avec une nef ouvrant sur quatre chapelles latérales. Le clocher, entièrement en pierres, est ajouré et décoré d'ornements sculptés.
Le cimetière entoure toujours l'église. Dans ce périmètre également, se trouvent quelques maisons en granit datant du 17ème siècle ayant servi au tournage de divers films et dernièrement "Meurtre au Mont Saint Michel" avec Anthony Delon.
Nous prenons la direction de Cardroc vers un ancien manoir du 18ème siécle. Sur le toit du pignon, un épi de faitage en brique appelé "épi siffleur" en céramique creuse; percé de quatre trous orientés vers les points cardinaux, il émet un son différent selon la direction des vents.
Nous poursuivons notre circuit au travers la campagne. Le château de Montmuran (12ème siècle) est en vue. Il est classé Monument Historique. On y accède par une allée boisée. Il est composé de 2 tours au Nord et d'un imposant châtelet avec machicoulis encadrant l'entrée défendue par une herse, des douves et deux ponts levis toujours en état de marche.
Par ailleurs, ce château est très lié à l'histoire de Bertrand Du Guesclin. En 1354, ce dernier est adoubé chevalier dans la chapelle du château et en 1374, il y épouse Jeanne de Laval-Châtillon (après le décès de sa première femme Tiphaine Raguenel).
Ce château est ouvert à la visite.
Nous terminons notre petite balade vers La Fontaine Saint Fiacre ; elle date du 12 ème siècle. L'eau de cette source alimentait autrefois les douves et la fontaine du château (canalisation en poterie). L'eau de cette source qui ne tarit pratiquement jamais était jadis invoquée pour faire venir la pluie. 16 h 30 : Petit goûter réconfort.
Prochain RDV : jeudi 23 février avec Marie-Claire – parking des Gayeulles – patinoire le Blizz
Les grandes heures du Parlement :
Construit au 17ème siècle (1618-1655)
Architectes : Germain Gaultier et Salomon de Brosse
Devient Cour d’appel de Rennes en 1804, classé monument historique en 1863
Premier incendie de Rennes en 1720 (du 22 au 27 décembre) – 10 morts/800 maisons détruites. Le parlement a été épargné, l’incendie commence rue Tristan, actuelle rue de l’horloge.
En 1994 (nuit du 4 au 5 février) incendie du Parlement lors d’une manifestation des marins pêcheurs.
Le parlement de Bretagne est actuellement cour d’appel (autres juridictions sont à la cité judiciaire boulevard de la tour d’auvergne) – 200 personnes y travaillent.
Lors de la reconstruction on choisit le métal et non le bois faute de main d’œuvre.
Salle des pas perdus (au 17ème salle des procureurs), au plafond blason de la Bretagne, salle qui va s’effondrer en 1994 (incendie).
La bibliothèque : décors du 17ème ont été sauvés de l’incendie. La salle la plus importante : les parlementaires signent les « édits royaux » en 1658. Les plafonds de Charles Erhart et Couapel – deux loges ou Madame de Sévigné est peut-être venue ?
Nous apercevons la fleur de lys et un N sur les tapisseries : Napoléon III est venu à Rennes.
Sur les portes on aperçoit également LF – Louis Philippe.
En 2004 fin des travaux suite à l’incendie de 1994 : coût des travaux 63 millions €.
Merci à Gisèle pour ce compte rendu.
Rendez-vous le jeudi 19 janvier 2023 avec Colette à l’écluse Robinson à Saint-Grégoire pour la balade des louvries.
60 ans de mariage pour Claudette et Jacky BOSCHER. Belles noces de diamant!
Chevaigné se trouve à 14 km de Rennes et compte 2495 habitants.
Cette balade nous fait découvrir aussi bien le charme des écluses que celui des chemins creux et de la campagne avec ses hameaux.
Nous partons de l’église (XVIème siècle) vers l’allée piétonnière du moulin pour descendre dans la vallée en passant sous la voie ferrée en empruntant un pont très bas étroit et très sombre. Merci au smartphone qui non seulement peut téléphoner mais aussi nous éclairer.
Nous franchissons la passerelle de l’Ille pour rejoindre le canal que nous longeons. Nous découvrons un beau terrain de pétanque déserté ce jeudi. Nous passons l’écluse de Grugedaine avec sa maison éclusière. Nous apercevons ensuite le manoir de la Rivaudière (XVI – XVIIème siècle) en travaux et inaccessible en ce moment.
Nous empruntons le chemin dit « des amoureux » (il reliait autrefois le manoir de la Rivaudière à Melesse) qui s’élève en direction d’un bois En virant à gauche, nous atteignons le hameau de la Fricaussière. Après ces maisons, nous traversons une route pour rejoindre la lisière d’un petit bois, avant de retrouver le canal. Le chemin de halage ramène les 20 marcheurs à Chevaigné.
Au bourg le patron du café nous attendait pour un goûter toujours aussi sympathique.
Prochain rendez-vous le 21 novembre sur le parking du Ponant à Pacé avec Gisèle et Joël pour une découverte d’un chemin de randonnée.
De la cale de PONT REAN aux sources de BAGATZ et village du BOEL
16 personnes bien aguerries affrontent un itinéraire sportif par des chemins glissants avec d’importants dénivelés mais l’équipe est solide et donc pas de souci.
De la cale de Pont Réan nous nous dirigeons vers un chemin en montée pour rejoindre les hameaux de la Houssais, grand panorama sur Pont Réan et Bruz.
Nous descendons ensuite des chemins pour gagner les villages de LA PERRAIS, LA PROVOTAIS, LE VERGER avec des habitations authentiques LORINAIS dans lequel nous traversons une route fréquentée pour descendre dans un chemin très pentue et ombragé. Après la fontaine chemin remarquable parmi les buis et les chênes
Nous arrivons au bord d’un ruisseau., à proximité des sources de BAGATZ abandonnées aujourd’hui, mais qui étaient exploitées dans les années 70. Nous remontons par des petits sentiers caillouteux plein d’eau, pas le choix, mais pas de noyade. Nous traversons une route pour rejoindre le charmant village de VAU THEBAULT, par des chemins creux.
Nous nous séparons, une partie du groupe, rejoint le passage à niveau du Boël en empruntant une petite route. L’autre partie, plus, téméraire, m’accompagne, et ensemble, nous descendons un chemin abrupt avec des rochers pour arriver dans le village très ancien DU BOEL, habitat de caractère en schiste.
Nous retrouvons la 2ième partie du groupe sur le canal face au célèbre moulin du BOEL édifié en 1652. Sa structure est capable de résister à la force de l’eau avec une forme en éperon et en amont.
Nous poursuivons le halage, aperçu d’un menhir sur l’autre rive près de l’embouchure de la SEICHE.
Un chemin se détache du halage à gauche pour rejoindre le parking du départ.
Nous avions un grand besoin de se sustenter. Alors pause bien méritée au Bar du GALET BLEU avec quelques friandises.
Prochain RV avec CLAIRE près de l’église de CHEVAIGNE le jeudi 7 novembre 2024.
Nous étions 12 randonneurs pour un périple de 7,5 km (sentier non balisé un peu improvisé).
Depuis la place de l'église, nous prenons la direction du Grand Pont puis du moulin de Mordelles.
Ensuite, nous longeons les grands étangs de la Biardais.
Nous arrivons sur les fondations d'un site gallo-romain. Divers petits sentiers, à travers les lotissements, nous amènent à proximité du château de la Chesnais protégé par un écrin de verdure. Bel édifice très bien restauré et parc magnifique.
Après avoir passé ce château, on emprunte des chemins semblables à des tonnelles qui nous conduisent vers les rivières de la Vaunoise et du Meu.
Notre périple se poursuit au travers de petites prairies où des moutons et des chèvres se prélassent.
Notre balade se termine au grand pont.
16h 15 : Pour le plaisir de tous trois amis qui n’ont pu faire la marche nous ont rejoints pour le goûter réconfort.
Rendez-vous avec Huguette le 24 octobre sur le parking de Pont-Réan.
C'est la reprise des randonnées. Certains randonneurs étaient encore en vacances mais nous étions quand même 17 tous très contents de se retrouver. A partir des ruines du château d Hédé nous avons longé la rigole du Boulet qui est reliée au canal d’Ille et Rance puis nous avons remonté la côte de la Péchetière et traversé la ferme biologique de la Ville Allée accueillis par Orly le chien de garde qui ne demande que des caresses. Ensuite direction les Jardins d'Anna entretenus par les amis du petit patrimoine et qui se trouvent au bord de l'étang de 23 Ha ou règne une biodiversité remarquable et qui fait partie du site « Natura 2000 » des étangs d'alimentation du canal d'Ille et Rance.
Pour terminer cet après- midi le traditionnel goûter a été perturbé par la pluie qui nous a copieusement arrosés ainsi que le plat de teurgoule.
Prochain rendez-vous le jeudi 26 septembre – forêt de Rennes – parking la Petite Lune – « les judeauderies ».
Nous sommes partis de l'écluse du Chatelier qui marque la limite entre la Rance fluviale ( eau douce ) et la Rance maritime (eau saumâtre) soumise aux marées de l'usine marémotrice. L'écluse a été livrée à la navigation le 2 juillet 1937. Le pont qui enjambe actuellement la Rance date des année 1950, il remplace un ancien pont pivotant.
Dans les années 1960, on rajouta un système de pont à bascule sur une partie de la nouvelle construction permettant le passage des bateaux à voile de plus en plus fréquents qui utilisent cet estuaire entre Manche et Océan Atlantique. Ces bateaux ont remplacé les chalands qui transportaient autrefois les marchandises qui sont transportées à présent par les chemins de fer. Construites en même temps que l'écluse, les trois maisons éclusières forment un bel ensemble homogène. Tout au long de notre parcours de nombreux carrelets attirent notre attention, ce sont des baraques de pêcheurs construites sur pilotis. Dix sept de ces cabanes sont malheureusement tombées en décrépitude, mais bientôt des bénévoles vont leur donner une deuxième jeunesse.
Le viaduc de Lessard, qui fait 32 mètres de haut, est destiné au passage d'une ligne de chemin de fer reliant la Bretagne à la Normandie.
Nous suivons un petit bois parcouru de multiples sentiers menant au village de Morgreve ou du moins ce qui en reste. , de l'autre côté de la Rance juste en face, le château de Rochefort se mire dans l'eau ou de nombreuses aigrettes se rafraichissent.
Plus loin après quelques centaines de mètres, sur un chemin parfois escarpé, nous arrivons au belvédère sur les hauteurs du site du moulin du Prat qui peut se visiter certains jours.
Nous pique-niquons devant ce superbe paysage. Puis, nous revenons sur nos pas en empruntant de jolis sentiers encaissés dans une forêt remplie d'une végétation abondante …beaucoup de fougères différentes.
De retour au parking, Huguette nous invite à la suivre chez elle pour un sympathique goûter Nous n'étions pas nombreux, le temps annoncé en avait dissuadé plus d'un, nous n'avons pas marché beaucoup (8 Km) mais…quelle belle journée sous un beau soleil…
Prochain Rendez Vous avec Claire jeudi 27 juin près de l'église du Rheu( Bus 54 Arrêt Bouleaux )
Un grand BRAVO à nos participants qui ont ramené la coupe. Toutes nos félicitations.
Nous partons à 07 h 30 pour rejoindre les 42 personnes assistant à cette journée régionale à Mur de Bretagne (Lac de Guerlédan) au village "Miléade" avec un agréable accueil composé de : café, thé et viennoiseries.
10 h 30 départ pour la visite de la verrerie ou un jeune couple nous attend.
Installé depuis 1an et demi l'historique du verre nous est rappelé. Le travail du verre date de 5000 ans et existait en Mésopotamie, en Syrie et en Egypte. Lors de la renaissance italienne une île est choisie pour cet art du verre c'est MURANO en Italie à côté de Venise. Le secret de fabrication doit être préservé…mais les érudits de l'ANR ont percé ce secret et voici les recettes :
Le sable de silice arrive de Fontainebleau (pour sa pureté et sa dureté) Puis ajouter la soude, la chaux (qui le rend plus dur), le manganèse (pour les teintes différentes). La cuisson est très lente à 800/900°. Il faut 24 H pour une cuisson.
Les différents instruments utilisé sont : des ponces, des équerres, des pinceaux. Le diamant est le seul matériau permettant de rayer le verre.
Les déchets ne sont pas jetés : ils sont broyés et réutilisés. Les artistes n'ont pu nous faire une démonstration de leur talent une panne électrique s'était jointe à la visite.
Quant aux objets fabriqués nous découvrons : assiettes, verres, bijoux et triskell fabriqués avec talent.
Retour au village et après un apéro nous voilà à la restauration (Self) où nous reprenons des forces.
15 H départ pour découvrir la brasserie de Mur de Bretagne où une jeune femme nous reçoit. Installée depuis 3 ans elle fabrique des bières Bio dont voici les ingrédients : l'eau à 93 % de l'orge et du houblon et des levures. (Ingrédients produit dans la région) C'est le houblon qui donne l'amertume à la bière. La cuve de brassage fait 500 litres. Pour être dégustée il faut attendre un mois. En France il existe 2000 brasseries. Après la visite, nous avons la possibilité d'acheter les produits de cette brasserie.
Pour nos joueurs de pétanque (12) qui s'étaient défiés le matin (deux parties) le concours n'a pu être prolongé l'après-midi étant donné l'orage et la pluie qui rendaient impossible la fin de ce concours. Toutefois sur ces résultats acquis les coupes sont remises et l'Ile et Vilaine obtient le premier prix. Félicitations aux joueurs et à Odette (seule joueuse pour notre département).
Agréable journée et merci aux organisateurs-(trices) des Côtes d'Armor. Un petit regret toutefois : le déficit de participants qui peut remettre en cause cette journée festive.
C'est une randonnée très agréable de 9 km sur des sentiers en sous-bois un peu "gadouilleux" tout particulièrement à un endroit où deux de nos 16 marcheurs ont perdu l'équilibre, heureusement sans blessures, seuls les vêtements ont été malmenés.
Les points de vue sur la vallée de la vilaine, sur les manoirs, les châteaux bâtis sur ses rives sont nombreux. Nous nous attardons devant le château du Boschet inspiré de Versailles, construit entre 1660 et 1680 par Pierre Lascouet, parlementaire Rennais et grand Chambellan de Monsieur, frère du Roi. Ce château qui a traversé les siècles sans modification notoire se visite du 1er juillet au 3 septembre et toute l'année sur rendez-vous. Possibilité de visite, goûter, repas, spectacle. Il peut être privatisé pour des réceptions.
Nous poursuivons le chemin jusqu'au site de la Courbe où la traversée de la Vilaine est possible sur une passerelle. Nous atteignons le hameau et ses maisons de pierre au bord de l'eau. L'une d'elle accueille les pèlerins de Saint-Jacques de Compostelle, elle est signalée évidemment par une coquille Saint-Jacques.
Le moulin de la Courbe est au milieu de la Vilaine. La maison d'habitation et l'écluse sont en pierre. C'est une ancienne gravière exploitée de 1930 à 1980 pour son sable et ses alluvions d'excellente qualité, destinés à la ville de Rennes pour la construction d'immeubles.
Merci Huguette pour cette belle balade. Avant de nous quitter rendez-vous pour le goûter gourmand habituel.
Prochaine marchapié:
le 16 mai 2024 à 09 h 30 avec Jean-Pierre sur le Parking : 11 rue André Trasbot à Cleunay (Rennes) et n'oubliez pas votre pique-nique.
Midi printanier, qui a donné, à 25 marcheuses et marcheurs, l’envie de « mettre le nez dehors » et de se retrouver sur le quai d’accostage des bateaux, en face du moulin de Champcors !
Et en avant pour une balade sur le chemin de halage, direction Bruz !
Hélas, à l’écluse de Cicé, la passerelle, qui devait nous conduire sur les sentiers aménagés entre les plans d’eau et un bras de la Vilaine, est toujours interdite. En effet, la crue importante de cet hiver a provoqué un fort courant, qui a érodé la berge et rendu le sentier dangereux.
Qu’à cela ne tienne, nous continuons le long du canal vers le bois de Cicé, d’où nous apercevons un héron cendré sur l’autre rive et beaucoup d’aigrettes, au loin, dans un pré très marécageux.
Nous quittons le canal pour emprunter des allées en sous-bois près du golfe de Cicé-Blossac, puis nous revenons par le chemin de halage.
Pas de monuments ou autres curiosités, rien que l’eau et la végétation printanière qui explose de bourgeons, de tapis de fleurs, telles que les anémones, les ficaires, la consoude et autres fleurs sauvages et même des ornithogales (aussi appelées Etoiles de Bethléem) pas vraiment sauvages au départ.
Au retour, une table de pique-nique, pas suffisamment grande pour accueillir tout le monde et tous les desserts (dont l’agneau de Pâques – spécialité d’Alsace - de Patricia) et boissons à partager, nous a permis de prolonger cet après-midi de convivialité, de rires et de bonne humeur !
C’est quand la prochaine marchapié ?
Le 25 avril, à Bourg-des-Comptes, avec Huguette !
Nous sommes 24 aujourd'hui pour cette marchapié de la Bellangerais aux prairies Saint-Martin. Nous longeons le canal où des kayakistes et des canards se défoulent…
Après une balade entre ville et campagne nous arrivons dans les prairies. Elles font 30 hectares et ont été aménagées en 2019 entre le canal et un bras naturel de rivière l'Ile.
Nous retrouvons les vaches Highland avec leurs belles cornes. Elles se plaisent bien en zone humide et sont dociles et sont parfois choisies pour être des animaux de compagnie ou de thérapie.
Nous allions passer à côté de cette originalité : heureusement Colette a attiré notre attention sur ces nichoirs à oiseaux et chauve-souris posés par la ville dans des eucalyptus.
En revenant des prairies nous traversons la coulée verte qui a la particularité d'être 22 fois plus longue que large et d'être entièrement végétalisée d'où son nom de coulée verte. Nous passons sous un pont où des artistes ont reproduit de belles peintures.
Notre balade se termine par le goûter traditionnel.
Prochain rendez-vous avec Colette le 21 mars 2024 – à Saint-Thurial – parking du cimetière
Comme le jeudi précédent le soleil nous boude mais la nature nous sourit avec ses fleurs et ses oiseaux, nous nous sommes quand même retrouvés à 14 sur le circuit de Pluvignon.
Départ du parking de la cale pour franchir le pont sur le canal en direction de Saint-Grégoire nous traversons la rue de Rennes et passons sous la voie ferrée nous suivons la route du Vau Robion pour rejoindre le "village de la forme".
Le parcours se poursuit sur une allée sablée puis un sentier herbeux et humide. Le chemin nous mène sur un passage à niveau puis la route de Rennes que nous retrouvons.
Arrivés près d'un parc d'activités nous descendons au canal pour atteindre l'écluse du Haut Chalet. La passerelle nous permet de revenir à notre point de départ.
La pluie qui nous menaçait finit par s'abattre sur nous et évidemment nous sommes trempés. Il aurait été raisonnable de rentrer chez nous au plus vite pour nous changer mais comme d'habitude nous n'avons pu résister aux gâteaux de Colette, Marité, Janie…
La balade en forêt de Rennes n'ayant pu se faire sera reprise à une date ultérieure
Prochain rendez-vous le 14 mars 2024 – prairies du canal Saint-Martin -organisée par Michel – départ à la Bellangerais.
Voyage du 01 au 07 septembre 2024; Renseignements dans les deux derniers numéros de l'Echo de l'ANR 35 et auprès de Roberte Doyet.
C’est l’hiver, il fait froid mais le soleil est avec nous…. Par moment il fait tellement bon à l’abri du vent que nous serions tentés d’aller prendre un bain dans l’étang, mais non aucun des 16 marcheurs ne s’y est aventuré.
Nous avons longé l’étang, l’eau était bleue comme le ciel, le soleil nous aveuglait, un vrai bonheur.
Nous marchons sur des sentiers bien abrités mais un peu humides parfois. En faisant un écart nous passons sur la butte de la Maltière située en lisière de Rennes, 25 jeunes ont été fusillés le 30 novembre 1942. Cet endroit est avec Chateaubriand le haut lieu de la mémoire des fusillés de la résistance en bretagne, lieu plein d’histoire qui nous a bien ému.
En revenant sur nos pas nous passons devant l’écocentre de la Taupinais qui développe des actions d’éducation à l’environnement pour les écoles, les accueils de loisir et autres structures socio-culturelles.
Plus loin « Rennes compost » est une association de collecte de biodéchets auprès des professionnels de la restauration. Le personnel travaille à la préparation de ces déchets pour une transformation en compost destiné à nos jardins, moyennant quelques euros.
Nous revenons vers l’étang, le soleil était toujours rayonnant….des bancs nous attendaient pour une petite pause très agréable.
Encore un effort et voilà que l’heure du goûter a sonné mais pas de café pour nous accueillir cette fois. Mais voilà une table sortie d’un coffre pour recevoir gâteaux de Colette et le café.
Merci pour ces préparations conviviales.
Prochain rendez-vous le 1er février 2024 à Cardroc sur le parking derrière le restaurant Lucas.
Nous nous sommes retrouvés, rue de Saint-Malo le jeudi 4 janvier 2024
(21 personnes)
Notre guide, ancien pharmacien nous a reçus et guidés dans les différentes salles.
Ce musée contient 6000 objets médicaux. Nous allons découvrir l’évolution positive de la médecine, chirurgie dentaire, en orthopédie, en ophtalmologie et en pharmacie.
L’histoire de l’Hôtel Dieu commence en 1858 construction de l’hôpital, en 1898 construction de la maternité et en 2009 les services hospitaliers sont transférés vers le CHU de Pontchaillou (construit en 1969)
Notre guide nous parle d’Ambroise Paré considéré comme le père de la chirurgie française sous le règne de Charles IX en 1550 : il remplace la cautérisation au fer rouge ou à l’huile bouillante par la ligature des artères, imaginez comment cette découverte a soulagé les patients. Autour de nous de vieux scalpels et seringues.
Nous découvrons un vieux fauteuil de dentiste comprenant des accoudoirs pour mettre les bras. L’usure témoigne du stress des patients lors de l’intervention.
Une grande évolution au niveau du diagnostic médical est l’intervention du stéthoscope créé par René Laënnec en 1819 (finistérien né à Ploaré)
Nous découvrons (ophtalmologie) le tableau des lettres et la curiosité de cet objet nous est donnée par notre guide : sur les deux côtés on peut lire à l’envers Monoyer Ferdinand qui a inventé ce tableau en 1872 et utilisé dans le monde entier.
Nous découvrons l’évolution des lunettes, en 1872 Edward Scarlett invente les branches que nous connaissons aujourd’hui (à cette époque les branches arrivaient aux tempes).
Nous découvrons également l’orthopédie avec les systèmes anciens pour prothèses de hanches.
Grande découverte avec la première machine de radiologie de l’histoire. Notre guide nous raconte combien d’amputations ont été faites suite à la méconnaissance des effets négatifs des rayons X sur l’organisme. Des tabliers de plomb ont été ensuite utilisés pour se protéger. La radiologie a été inventée par l’Allemand Wilheim Ronten en 1895.
Dans le rayon pharmacie toutes sortes de médicaments : des suppositoires dont l’utilisation est commentée avec humour par notre guide.
Le beau meuble de la pharmacie a été offert au conservatoire par une pharmacienne de Paimpol qui partait à la retraite
Nous arrivons à l’étage où nous apercevons des landaus, des vierges en faïence qui étaient destinées aux mamans au moment de l’accouchement et également différents instruments utilisés lors de cet acte et particulièrement les forceps.
Nous quittons le musée, belle découverte et surtout rassurés des progrès étonnants de la médecine actuelle. Ce musée médical nous a passionné pendant deux heures avec un guide (médical) qui a su capter notre attention.
Marchapié BETTON le 14 décembre 2023
Nous partons du parking de la cale où se tient habituellement le marché de Betton : 110 commerçants et 6000 visiteurs se retrouvent le dimanche matin.
Avez-vous remarqué le beau ciel de ce jeudi matin (voir photo) qui laissait présager une belle journée mais pas du tout les 18 marcheurs du jour ont affronté la grisaille et la pluie sur des chemins souvent boueux. Peu importe la balade entre ville et canal était agréable et nous a permis de déambuler sur des sentiers calmes le long de jardins où des fruits d’une belle couleur orangée nous interpellent, ce sont des kakis. Nous avons l’habitude de voir des pommiers mais beaucoup moins des plaqueminiers
Les plans d’eau sont nombreux pour le bonheur des canards. A un moment le canal longe un centre de rééducation « la vallée », bel établissement où des convalescents viennent retrouver leur mobilité après un accident ou une opération.
Après 8 kms nous apercevons l’église de Betton, édifice qui domine la ville par sa hauteur et sa prestance.
Nous retrouvons le parking et nos voitures mais avant de nous quitter nous dégustons évidemment un goûter réparateur.
Prochain rendez-vous le 18 janvier 2024 avec Colette sur le parking en face des terrasses d’Apigné.
BONNES FETES à tous et à l’année prochaine.
Nous étions 33 au départ de RENNES. Le trajet se fait avec le soleil et sans encombre.
Nous arrivons à SEGRE à 11h30.
Nous sommes conviés à prendre notre repas dans un Pavillon du Parc Des Expositions
Ici nous ne sommes pas seuls, d’autres groupes nous ont rejoints.
Un délicieux repas nous est servi, avec poisson en entrée, puis porcelet et chocolat
en dessert. Le repas est accompagné de discussions avec nos voisins.
Puis nous rejoignons la salle des SPECTACLES !
« LES PEPITES DE L’AMERIQUE DU SUD"
Un présentateur va nous expliquer chaque danse, chaque tableau que nous verrons sur scène.
MUSIQUE, DANSES, COSTUMES, très divers et colorés, danseurs pleins de vivacités, de bonne humeur.
Nous en prenons plein les yeux et les oreilles. Plusieurs pays sont à l’honneur :
MEXIQUE LA BOLIVIE LA COLOMBIE L’ARGENTINE CUBA. …
Nous avons été heureux d’assister à ce spectacle qui était plein de joie dans ce monde si morose. !
Un grand MERCI à ROBERTE et à L’EQUIPE qui a préparé cette magnifique journée !!!
et à Gisèle pour ce compte-rendu.
Nous étions 18 fidèles à quitter le bourg de Guipel par un chemin très boueux à cause des nombreuses pluies ainsi que du ruisseau en contrebas. Après ce passage délicat nous remontons vers la D221 pour rejoindre une rigole d'alimentation, parsemée par endroits, d’arbres tombés à la suite de la tempête "Ciaran ". Deux kilomètres plus loin nous rejoignons le canal a la "Plousiere" J'en profite pour vous donner des détails sur ce dernier il aura fallu 28 années (1804-1832 ) et près de 2000 personnes pour réaliser les 84kms du canal d'ille et rance.48 écluses jalonnent son parcours dont 11 superposées à la "Madeleine" à Hédé lui permettant de franchir une dénivellation de 27 m. Tranquillement nous rejoignons le bourg où nous nous retrouvons au "café des possibles" pour ne pas perdre les bonnes habitudes du goûter.
Rendez vous le 30 novembre avec Huguette à Chantepie Allée des papillons en face de l’église.
Ce jeudi c’est à Noyal Chatillon sur Seiche que notre groupe de 23 marcheurs s’est retrouvé pour une petite balade tranquille et sans pluie, contrairement aux sombres prévisions de la météo.
Un bref rappel historique : le 1er janvier 1993 marquait la fusion des deux communes de Noyal Chatillon sur Seiche (église Saint Martin) et de Chatillon sur Seiche (église Saint Léonard). La seiche, qui les traverse se jette dans la Vilaine au sud du Boël, après avoir recueilli les eaux de ses affluents, principalement l’Orson au nord et L’Ise au sud
Du parking nous avons rejoint le parc de la Seiche – les Monts Gaultier, après être passés près de l’église Saint Léonard, son ancien presbytère et le cimetière particulièrement fleuri en cette saison.
Durant 2 km nous avons longé la rivière dont le niveau a bien monté, par de larges allées bordées de vastes espaces verdoyants et aménagés pour le pique-nique ou les jeux en famille. Puis nous sommes passés sous un pont de la route de Nantes et nous sommes arrivés à la Conterie en Chartres de Bretagne par de petits sentiers bocagers.
Ensuite, nous avons emprunté une voie verte partagée avec les cyclistes (très rares ce jour) pour revenir dans le parc et finir notre boucle.
Comme il est de tradition désormais, nous avons très vite repris les calories brûlées en partageant un copieux goûter, confortablement assis au chaud dans un bar…..
Prochain rendez-vous le 16 novembre à GUIPEL avec Roberte.
Nous étions 17, beau groupe de bonne humeur contrairement au ciel qui était très fâché.
Nous prenons la direction du terrain « Le bon pasteur » et poursuivons vers le bois de champagne en empruntant le pont de singe construit avec des cordages et permet de traverser la rivière « la flume » et évidemment le pont bouge….
Nous arrivons aux ruines d’un moulin du XVIIIème siècle dont il reste peu de chose.
La commune a fait l’acquisition de 5 hectares de bois pour aménager ce lieu très boisé.
Nous sommes maintenant à la campagne, on parle, on rigole des blagues fusent. Des maisons joliment restaurées avec des pans de bois.
Le ciel s’est enfin éclairci et nous rejoignons le bourg pour prendre notre goûter habituel, au café, chez Loïc. Claudette et Jacky nous ont rejoints.
Ici, gâteaux, crêpes, confitures, chocolats nous attendent………Quel bel après-midi chaleureux dans notre groupe qui s’est déplacé malgré les conditions météorologiques très défavorables
Bon Halloween à tous.
Prochain rendez-vous à Chatillon/ seiche avec Odile et Yannick le 9 novembre à 14h.
Jeudi 19 octobre 2023, les adhérents ont pu visiter le ferme marine de Cancale, déjeuner au Vivier sur Mer et terminer la journée avec une balade au Mont Dol. Merci à Marie-France pour la préparation de cette journée très réussie et à Michèle et Claire pour leurs jolies photos permettant de faire revivre cette journée.
En mai 2020 nous devions séjourner (12 marcheurs) de l’ANR à Plestin les Grèves (22) mais le centre d’accueil a déposé le bilan et le covid également ont fait que le séjour a été annulé.
Cette année l’expérience a été renouvelée, toujours avec le même nombre de participants. Destination le Morbihan cette fois au village Azuréva de Kerjouanno. Après un départ pluvieux le soleil était au rendez-vous. Notre guide Huguette nous a fait découvrir le petit Mont, le parc de Fogeo le port du Crouesty, Arzon, Port Navalo les pointes de Monténo et Penbert
Le lendemain, vendredi, destination l’île d’Arz, qui est surnommée l’île des capitaines, de nombreux navigateurs au long cours y ont séjourné ou y sont né. Ce bout de terre est quand même composé de 265 habitants, d’une école de 12 enfants (5 filles et 7 garçons) avec leur institutrice et leur ATSEM. Nous découvrons le sentier côtier en arrivant sur la digue du moulin de Berno. Ce moulin à marée fonctionnait jusqu’en 1910. Après 14 km de marche nous reprenons le bateau du retour pour le port de Vannes.
Dimanche, fin de notre séjour nous quittons Kerjouanno pour le petit port de Saint-Goustan toujours aussi charmant avec de nombreux touristes. Après une petite déambulation dans le port et la ville d’Auray, un dernier repas dans une brasserie et nous regagnons nos foyers.
Nous garderons un excellent souvenir de cette escapade dans le golfe du Morbihan et cette expérience pourra être renouvelée en 2024 ?
Malgré un temps incertain 14 personnes étaient présentes.
Pour atteindre Le Verger des trombes d’eau nous accompagnaient mais par la suite le soleil est revenu.
Nous nous dirigeons en direction du terrain de sports, puis nous nous retrouvons dans un agréable chemin. Nous traversons la départementale 40 très fréquentée pour rejoindre la vallée du Rohuel. Nous voilà dans une carrière dédiée à l’escalade pour nous retrouver sur un flanc couvert de landes et nous descendons dans la vallée. Nous traversons à nouveau la départementale 40, un promontoire nous permet d’avoir une vue panoramique sur Rennes.
Par un chemin bordé de chênes et de châtaigniers, nous rejoignons le bourg du Verger.
La récompense de notre marchapié fut un goûter de crêpes et tarte aux pommes avec une bolée de cidre…
Rendez-vous le jeudi 5 octobre 2023 au bourg de CINTRE avec Colette.
Montgermont est une des plus petites communes du département en superficie, elle s’étale sur 467 hectares et compte 3727 habitants en 2023. La population a quintuplé entre 1968 et 1999.
Nous partons du parking de l’église Saint Martin de Tours pour rejoindre le parc de la Motte ou sont installés des jeux pour enfants et pour adultes (allées de boules), puis nous longeons un étang et poursuivons sur une passerelle pour atteindre la rue de la République. Nous cheminons dans un sentier bien fleuri et arrivons dans un hameau en direction de la Fougerolle. Après les lieux dit de Tuel, la Housset, le champ Hedeard nous apercevons le bourg.
Nous découvrons plusieurs rues et empruntons une allée boisée dans laquelle une sculpture représentant un amoncellement de roches attire notre attention. La croix au-dessus élevée en 1972 commémore la prédiction du missionnaire joseph Augustin Boursoul qui avait annoncé les troubles à venir avant la révolution (à la base de cet ensemble il a laissé ses pas en signe de visite…. on peut apercevoir des traces en effet..)
Près de l’église, au cœur du bourg, se trouve la motte de Montgermont d’une hauteur de 5 m et de 30 m de diamètre, c’est un exemple des multiples fortifications de terre édifiées au début du moyen âge par les familles seigneuriales
Comme à l’habitude cette belle balade de 7 km se termine par un gouter pour les 16 marcheurs. Raymond qui nous a accompagné pour une petite boucle en début d’après-midi, est revenu se joindre à nous pour la partie gourmande de la journée.
BONNES VACANCES à tous et rendez-vous le 7 septembre à HEDE avec Jeanine.
Sortie à Chateaugiron pour la journée. Nous étions 17 à parcourir le centre-ville accompagnés de Laëtitia, guide à l’office de tourisme. Elle a su nous faire découvrir des œuvres dans la cour du château, le centre d’art des 3CHA –(chapelle, château de Chateaugiron) le street art et l’œuvre sur l’étang.
Magnifique le dragon asiatique du graffeur WAR sur le mur du dojo.
En revenant vers le château nous passons devant ce qui était (en 1858) les halles qui entreposaient autrefois les toiles de chanvre utilisées pour la confection des voiles de bateau, industrie bien plus développée à Noyal par exemple. En 1986 ce bâtiment est devenu une médiathèque tout en conservant le style historique de ce bâtiment.
Dans la cour du château un labyrinthe a été imaginé par Guillaume Credos. Il a fallu 3000 morceaux de plastique provenant de bombonnes d’eau pour réaliser cette œuvre surprenante.
Sur l’un des murs du château une photo représente une mère et sa fille en 1980. Elles sont portugaises, le photographe, Georges Dusaud habite Chateaugiron et se rendait fréquemment au Portugal.
Sur le donjon deux gigantesques fourmis sont agrippées aux aspérités des pierres. Elles sont l’œuvre de Marc Georgeaut dont l’atelier se trouve au château des Pères à Piré. Nous rencontrons également le flâneur de Pierre Gaucher.
Dans la chapelle du château une installation gonflable nous surprend. C’est un monde nouveau et fantastique ; un ensemble d’œuvres, gonflé au maximum, jaillit du sol et des airs, ultra lumineux et coloré, Il interagit en direct avec le visiteur…
A voir vraiment….
Pour terminer, Laëtitia nous conduit à l’étang où un bouquet de roseaux a été réalisé sur l’eau par olivier Valla. Il s’agit de valoriser le château en le regardant à travers ces roseaux.
Après avoir remercié notre guide pour ce bon moment passé ensemble, il est l’heure du pique-nique que nous prenons au bord de l’étang sous un beau soleil…que du bonheur.
Nous avons pris des forces, et nous voilà repartis vers la Glaume qui est un ancien marais que la commune a reconstitué à la fin des année 1990. Cette zone joue un rôle important pour la régularisation et le stockage des eaux de pluie, ce qui évite les inondations .c’est un espace propice aux oiseaux, aux insectes et aux plantes sauvages.
Au cours de notre périple, nous passons devant une belle maison palladienne très en vogue au 19ème siècle dans le sud des états unis.
La chapelle St Nicolas était fermée ;dommage, une exposition de tableaux et de sculptures s’y tient en ce moment
En passant par le lavoir et, le moulin à grain nous regagnons l’allée de Gervis et ses sentiers ombragés bien agréables par cette chaleur.
Notre balade se termine, nous retrouvons notre point de départ à l’étang
Après un goûter réparateur, nous regagnons notre domicile.
Prochain rendez-vous, avec Huguette le 15 juin à 10 heures sur le parking Chevet de St Jacut de la mer ….N’oubliez pas le pique-nique
13 marcheurs malgré une météo incertaine. Bravo aux participants qui ont su trouver le lieu de rendez-vous pas évident.
Agréable balade en sous-bois accompagnée de quelques curiosités : l'ancien aqueduc d’eau potable et la fontaine St Raoul dédiée au saint local Raoul de la Futaye, fondateur de l'abbaye Notre-Dame-du-Nid-au-Merle à St Sulpice.
La légende raconte que Raoul se serait noyé dans cette fontaine avec son cheval. Par suite du décès du saint l’eau de la fontaine devint miraculeuse. Elle guérissait les fièvres.
Une croix de granit indiquerait l'emplacement d'un ancien ermitage construit par Raoul.
Après avoir cheminé de parcelles en parcelles bien verdoyantes et parfois ensoleillées nous terminons par le parcours écologique avec des panneaux explicatifs sur la vie de la forêt.
Nous franchissons une digue surélevée et rejoignons la ligne forestière de Maffrais pour retrouver notre parking.
Goûters et boissons servies au bar du bourg de Saint Sulpice avec un accueil chaleureux.
Rendez-vous avec Claire jeudi 1 juin 10h15 à Châteaugiron près de l’office du tourisme – 2 rue nationale
Pleumeleuc, 3900 habitants à 20 km de Rennes
Nous sommes 16 au départ, malgré le ciel qui nous fait la tête. Un petit sentier et nous passons devant le presbytère, joli bâtiment. Nous arrivons dans les sentiers humides, à un endroit très boueux nous pensions le longer par le champ mais celui-ci a été grillagé et nous sommes obligés de prendre la route.
Nous descendons au niveau du pont et longeons la Vaunoise (rivière longue de 32 km) la bonne humeur est là, mais le passage est étroit, alors nous sommes très attentionnés.
Le long de de la rivière des fleurs mauves, des plantes sauvages, avec des commentaires, des rires, des blagues. De temps en temps des panneaux qui nous informent sur les insectes, les plantes nocives, les poissons et animaux présents au bord de la Vaunoise
A notre retour une photo souvenir est prise au niveau du pont puis nous nous dirigeons vers le lieu-dit « Beauvais » où est présente une jolie maison en pisé.
Nous arrivons à notre point de départ après avoir bien rigolé, le soleil n’était pas dans le ciel mais dans nos cœurs.
Merci à tous les participants. Un pot nous rassemble au bar « la tulipe » où nous sommes accueillis dans la bonne humeur
Prochain rendez-vous le 11 mai avec Huguette – parking de l’étang de Maffrais – Forêt de Rennes.14 H 00
Temps pluvieux, menace de circulation difficile (manif), rien ne nous arrête.
Nous étions 17 au rendez-vous à Orgères. Moyenne d’âge des participants en baisse grâce à la petite Louise qui accompagnait ses grands-parents. Au départ d’Orgères nous traversons un environnement boisé qui nous donne un panorama magnifique sur Rennes.
Nous passons devant les vestiges de la tour du télégraphe. Quelques bénévoles aidés par la municipalité ont pour projet de faire rénover ce télégraphe qui trône sur le lieudit du même nom.
Qui a dit que la terre était sèche, nous empruntons des chemins charmants mais très boueux mais pas de soucis nous avions des chevaliers servants pour nous aider à éviter les glissades.
Après le hameau de la Plessette nous découvrons le moulin de la chicane qui figure sur le cadastre de la commune réalisé en 1812. Il se nommait à cette époque moulin de Saint-James.
La balade se poursuit près d’une jolie maison qui présente une multitude de petits paquets à son entrée. Les cloches de Pâques ont laissé ces cadeaux sur leur passage ? aucun renseignement disponible la sonnette est très peu engageante.
Nous passons notre chemin et nous nous dirigeons vers notre point de départ où Huguette avait prévu un quatre heure très copieux et goûteux comme d’habitude.
Rendez-vous le 27 avril avec Gisèle et Joël à Pleumeleuc.
C’est bientôt le printemps et la nature se pare déjà de belles couleurs multicolores, le mois de mars est présent également avec ses giboulées qui n’ont pas arrêtées ce jour de marchapié malgré cette météo 17 marcheurs aujourd’hui à ACIGNE.
Les chemins sont parfois empierrés dans Grébusson, puis nous passons la Dagournais et le carrefour vers Houdin. Nous longeons un champ avec une vue sur les moutonnements de la forêt de Rennes. En traversant le hameau Louvigné nous remarquons des vieilles maisons aux murs de pisé (mélange de terre et de pierre liés par de la paille ou du crin de vache).
Nous négligeons les chemins de desserte agricole pour garder le sentier qui s’enfonce dans un tunnel verdure. Le chemin continue tout droit au château d’eau. Les chemins sont boueux, attention de ne pas glisser.
Nous retrouvons notre chemin de l’aller et comme d’habitude cette balade se termine par un goûter bien mérité par ce temps pluvieux. Merci à Jennie et Henri pour cette balade à refaire par un temps plus clément.
Rendez-vous le 16 mars à Mordelles avec Odile et Yannick.