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Dernière mise à jour 23/11/2025
Le matin, partant de l'office du tourisme, nous étions trente pour une visite guidée, qui nous mena vers la plage de l'Écluse, puis l'Embarcadère et la pointe du Moulinet. Contant, de façon claire et attrayante, l'histoire de la station balnéaire, le guide nous apprit que le nom de la commune fut d'abord celui de Saint-Énogat, petit port de pêche, devenu aujourd'hui un simple quartier. Au milieu du XIXe siècle, la station dut son développement à plusieurs Anglais et Américains, tombés sous le charme de l'endroit. Et, c'est à la Belle Époque que furent bâties de somptueuses villas, les châteaux de bord de mer, dont celui de Marie-Louise Le Manac'h, fille d'un modeste meunier, qui, usant à sa façon, de l'ascenseur social, devint lady Mond, l’une des femmes les plus riches et les plus en vue de son temps.
À midi passé, le cheminement au grand air ayant creusé les estomacs, tout le monde se dirigea vers le restaurant d'application du lycée hôtelier, où nous attendaient dix autres amis pour le déjeuner. Là, nous fut servi un repas raffiné et savoureux empreint de gaieté, au cours duquel tout se passa d'abord très bien. Jusqu'au moment où l'une d'entre nous (au hasard, appelons-la H, afin de préserver son anonymat), d'un pas décidé, voulut entrer dans les cuisines carrelées qu'elle prenait pour les toilettes ! (N.B. : C'était à la fin du repas.) Ici, prirent aussi place plusieurs petites anecdotes qui n'auraient pas leur place dans un organe de haute tenue tel que L'Écho de l'ANR 35. Enfin, à l'issue de ce bon moment, les quarante convives enthousiastes firent une ovation méritée à l'ensemble des élèves.
Puis, l'après-midi fut consacré à une agréable flânerie sur la promenade du Clair de Lune, effectuée, en l'occurrence, sous un paradoxal et radieux soleil d'automne. Aménagée dans les années trente, cette longue promenade fleurie offre un panorama exceptionnel sur l'estuaire de la Rance, avec en arrière- plan les remparts de Saint-Malo et la tour Solidor. Grâce à sa position abritée, elle offre (ou, pour mieux dire, elle arbore) une étonnante végétation méditerranéenne, dont une palmeraie provenant de l'exposition coloniale internationale de Paris (1931). Enfin, parvenus à la plage du Prieuré, au moment de se quitter et de remercier Marie-France pour l'organisation parfaite de cette journée mémorable, les participants furent contents d'apprendre qu'elle avait déjà une idée pour l'année prochaine...Jean Pierre
Nous sommes 21 pour profiter de cette belle et chaude journée.
Lieu de rassemblement : Roazhon Park. Après avoir franchi la passerelle, balle au pied, nous remontons la Vilaine, faisons un crochet dans la verdure des terrains de sport et retrouvons le halage au niveau de l’écluse, bâtiment tout en rouge. Nous arrivons à ce que l’on appelle la petite « riviera rennaise ». Au belvédère, avancé, métallique sur la Vilaine nous quittons l’eau pour rejoindre la rue Gisèle Freund et la place Clara Zatkin.
Le lieu mérite une pause car unique en France parait-il. C’est le « mur habité » A droite de la place d’où on a une belle vue sur l’immeuble de la confluence. Une muraille antibruit de 120 m de long en bois et en verre pour isoler des nuisances de la voie ferrée Paris/Brest. Réalisation de l’architecte Le Burretel qui a reçu le prix du défi urbain en 2020. Un escalier conduit à la promenade haute. En bas sont logées 8 cellules en bois sombre destinées à accueillir des artisans créateurs, malheureusement fermées ce jour-là. Le projet est piloté par Territoires Rennes service d’urbanisme.
A gauche de la place les Ateliers du vent, collectif culturel d’artistes et lieu de convivialité (bar, restaurant), ce collectif s’est installé (après de nombreux déménagements) dans ce qui était une usine de moutarde en 2006. Nouveau look en 2016.
Au milieu de la place une sculpture « l’arbre au rocher » de Sophie Cadin, sans doute pas tout à fait terminée. Après de nouveaux aménagements la place Clara Zetkin a été inaugurée en 2024.
Pas loin de là on suit la rue Alexandre Duval jusqu’au square Vercingétorix où un grand espace à l’entrée des immeubles est particulièrement décoré de très beaux street art.
La cité judiciaire (Georges Maillols) tout près de la Mutuelle qui la nôtre, nous traversons la piste de skate, le boulevard de la Tour d’Auvergne et arrivons dans la rue du Papier Timbré. Papier qui fait référence à la révolte de Rennes en 1675. Louis XIV a besoin d’argent pour financer sa guerre de Hollande, il imposa des taxes à la Bretagne qui se révolte 5 mois durant et cela vaut au parlement l’exil à Vannes, retour à Rennes en 1690.
Au bout de la rue, la place du Colombier qui attire l’œil avec sa construction circulaire colorée et ornementée mais aussi utilitaire puisqu’elle abrite un ascenseur. Au fond un passage que l’on ne remarque pas forcément mais nous fait arriver dans les différents jardins étagés sur trois niveaux. Etonnant cette verdure, ces arbres, ces murets cloisonnés à l’intérieur des immeubles. C’est un peu un labyrinthe ; on pourrait s’y perdre mais on n’en a pas eu le temps…Le jardin du papier timbré, le plus bas a une ouverture sur la rue du Puits Mauger.
De là nous revenons sur nos pas, longeons la Rue Abélard, l’hôtel de police à droite un ravissant jardin nous attend, le jardin d’Héloïse, normal le couple mythique Héloïse et Abélard est réuni.
Station de métro Mabilais du nom du quartier et de l’immeuble Le Mabilais, bâtiment de bureaux édifié en 1973 par l’architecte Louis Arretche, emblématique de Rennes futuriste. Il a abrité l’ORTF, le CENT : le minitel a été conçu là. Ce bâtiment aurait pu être détruit en 2007 sans l’intervention de M. Legendre. En 2013 Le Mabilais est devenu l’emblème de la filière numérique, la French Tech avec une douzaine de startup.
Un petit clin d’œil sur l’architecture visible de loin, une assise tripode, une antenne qui envoie des messages à la nuit tombante et une soucoupe orangée.
Passage dans un petit jardin peu connu avec son hôtel particulier, le jardin Jean Guy, qui jouxte la crèche Marion du Faouët, nom peu donné, Marion ayant été une grande brigande au XVIIIème siècle. Elle était belle et intelligente, sorte de Robin des Bois qui volait les riches pour donner aux pauvres. Elle fut finalement pendue à Quimper en 1755 à 28 ans, elle s’appelait Marie Tromel, c’est triste….
Pour retrouver la Vilaine sur l’autre rive nous empruntons la passerelle de la Paillette, là le lavoir et le théâtre (2006) en bordure du parc Saint-Cyr, le lavoir et sa cheminée haute de 25 m évoquent le travail auquel étaient condamnées les filles de mauvaise vie confiées aux religieuses jusqu’en 1970. L’espace du parc Saint-Cyr est acheté par la ville en 1986 et apparaît ainsi un havre de paix au public. A noter aussi le ponton construit sur la Vilaine au pied du Bacchus, café-théâtre avec ses deux octrois.
La promenade Madeleine Desroseaux, romancière et poétesse nous ramène au Roazhon Parc, petit final très sympathique au bar de la Guinguette.
Nom, Prénom :………………………………..Tél : …………..……… Portable :………………………
Adresse complète : ……………………………………………………
Email :
Prendra le car Rennes Isly à 11h30 oui non
Prendra le car à la piscine de Bréquigny à 11h45 oui non
Nombre de personnes : …….x 100 € =………………
Le chèque libellé au nom de l’ANR35 sera joint au présent coupon et adressé avant le 05 septembre 2025
à Roberte Doyet 9 Rue Mauduit Du Plessis 35000 RENNES / Téléphone 06 33 84 91 83.
« Ah, la belle vie que nous menons ! » Cette exclamation, entendue à plusieurs reprises au cours du séjour, donne bien le ton. Nous étions vingt de la section Marchapié, pour un séjour de randonnées de trois jours et demi. Soigneusement préparé par Claire et Michel Luyer, il était basé au village vacances Azureva de Trégunc (Finistère), non loin du GR 34, dit sentier côtier des Douaniers.
Le jeudi, regroupement des participants vers midi, à la pointe de Trévignon pour un pique-nique, suivi d'une balade vers la pointe de Kerjean, avec passage par la chapelle Saint-Philibert. Le soir, au centre, jeux apéro au cours desquels nous unissons nos forces contre des estivants trop forts, ou trop chanceux, (peut-être des parents de l'animatrice).
Le vendredi matin : Visite de la plus ancienne conserverie concarnoise (1893), qui s'approvisionne, pour l’essentiel, en poissons, mollusques et crustacés auprès des criées locales. L'après-midi, promenade dans la Ville close de Concarneau, cité fortifiée des XVe et XVIe siècles. Construite sur un îlot, elle est le cœur historique de la ville qui n'est que récemment sortie de ses remparts.
Le samedi, randonnée de 12 km empruntant notamment un tronçon du GR 34. Pique-nique sur une petite plage. L'après-midi, passage par le hameau de Kerascoët, en Névez, réputé pour ses chaumières. Le soir, spectacle du coucher de soleil, à 22 h 12, au bord de la mer.
Le dimanche matin, tour du port et de la baie de Concarneau en vedette. Dans le port (construction-réparation, pêche, plaisance), l'appellation du quai Nul, nous étonne. On nous explique qu'à l'issue d'une construction rondement menée, son utilisation s'étant avérée malaisée, il fut carrément abandonné. Puis, chacun prend la direction de Quimperlé, où après un dernier repas pris sur la terrasse d'un restaurant, une promenade dans la ville est proposée, avec notamment la visite de l'église abbatiale Sainte-Croix, exemple rare d'église romane de plan centré.
Et voilà. Ajoutez à cela la convivialité, la bienveillance, l'amitié et la rigolade (qui sont dans l'ADN de l'ANR), illuminez le tout par du soleil, comme s'il en pleuvait, et vous aurez le tableau achevé de ce beau séjour. Mais, à vrai dire, emporté par l'élan, on pense déjà, avec envie, à l'édition 2026...
La semaine dernière la canicule nous a privée de marchapié mais aujourd’hui le groupe était présent, moins nombreux que d’habitude car il est difficile de changer une date, on sait bien que les retraités ont un agenda très chargé.
Nous partons de l’étang de Matelons entouré de vergers qui constituent un vaste terrain de jeux, c’est un véritable atout pour la Chapelle des Fougeretz. De nombreuses petites chèvres escaladent les fossés au risque de glisser, elles remplacent la traditionnelle tondeuse pour l’entretien des vergers.
Nous rentrons dans le jardin marocain de 1700 m2 né d’une collaboration de la municipalité et l’Association ville/campagne et mosaïques Bretagne-Maroc.
Tous ceux qui ont travaillés sur ce projet, se sont inspirés d’un voyage au Maroc en 2002 qui avait pour but de visiter les jardins marocains et d’assister à des conférences.
On y retrouve tous les éléments qui font le charme des espaces verts traditionnels du Maghreb, ce jardin à fait une rénovation en 2022.
En sortant du jardin marocain nous passons en bordure des jardins familiaux. Nous suivons un chemin ombragé pour arriver au lieu-dit du Haut Plessis où l’on peut remarquer le manoir construit en pierres de granit de schiste il est doté d’un porche d’entrée ouvragé en terre.
Nous apprécions tous ces chemins ombragés qui nous protège de la chaleur, mais une chose qu’il ne faut pas oublier c’est de boire de l’eau et Colette nous le rappelle régulièrement. Après avoir passé différents hameaux et trouvé le pont romain en passant le village de la Rouaudière, nous terminons notre boucle de 8 km près de l’étang de Matelons.
Nous nous installons sur des tables existantes pour notre traditionnel goûter. Rendez-vous avec Huguette le jeudi 3 juillet à 12 h 30 (avec pique-nique) au port du lyvet à l’écluse du chatelier (La Viconté S/Rance)
Située au sud du département, Saint-Just (prononcé Saint-Ju) est une petite commune de 1 103 habitants, connue pour posséder le deuxième site mégalithique de Bretagne (après Carnac).
Le 22 mai, à 10 h 30, sous un beau soleil printanier, nous sommes dix qui nous élançons (façon de parler) sur le circuit des Fées de Tréal. Nous partons de la place de l'Église, qui a bénéficié d'un réaménagement total à l'occasion du récent passage de la flamme olympique. Et, quittant bientôt le bourg, nous empruntons un agréable chemin qui dessert des villages aux vieilles bâtisses. Puis, nous cheminons entre des champs de céréales et des prairies. — N.B. : En cette saison, où coquelicots et marguerites s'épanouissent, il n'y manque que des bleuets pour en faire des champs patriotiques.
Parvenus à une petite route, nous traversons le Canut, la rivière locale. À noter qu'à 30 km de distance deux rivières distinctes portent ce même nom. On est donc obligé, pour les désigner de préciser le Canut du nord ou le Canut du sud. C'est ce dernier qui coule à Saint-Just, et nous aurons l'occasion de le revoir plusieurs fois au cours de notre promenade. Même chose pour le château du Val, que nous découvrons bientôt, avec sa haute silhouette médiévale... résolument bâtie à la Belle Époque !
Pénétrant maintenant dans le bois de Tréal, nous sommes informés que nous entrons dans le domaine des Fées. Or, ces demoiselles sont des menhirs dressés, ou couchés avec le temps, dans la verdure. L'endroit recèle aussi une allée couverte, monument mégalithique, vieux de 5 500 ans, à usage de sépulture, constitué d'une quarantaine de dalles. Nous repartons, souhaitant déjeuner à 13 h... Bingo !
Nous arrivons au Moulin de Haut, où nous sommes accueillis par le propriétaire. Il a fonctionné pour la dernière fois en 1976 (nous parlons ici du moulin). Et, il s'agit plus précisément d'une ancienne minoterie, bâtie à la place d'un moulin du Moyen Âge, installée au pied d'un élargissement du Canut formant étang de retenue. Là, nous pique-niquons dans la bonne humeur, à l'ombre du haut cyprès de la propriété. Nous allons même jusqu'à évoquer l'éventualité d'une union entre le propriétaire des lieux et la petite fille de l'une des participantes (affaire à suivre). Puis, nous nous intéressons au moulin. Il ne possède plus sa roue, mais à l'intérieur une partie du mécanisme et des meules est toujours présente.
Quand nous repartons, quittant la vallée encaissée du moulin, nous montons doucement, parmi les digitales en fleurs, vers un plateau d'où nous apercevons une nouvelle fois le château du Val. Puis, sur la lande de Cojoux, se succèdent les monuments du Néolithique, dont des panneaux d'interprétation nous rappellent l'âge : 7 000 ans. À noter que ces mégalithes, dont on avait perdu la mémoire, furent redécouverts en 1976, à la suite d'un gigantesque incendie qui anéantit opportunément la lande.
Après avoir « avalé » les 13 km, de retour au bourg, nous nous installons sur la terrasse du petit café de Saint-Just, où, dans la grande tradition, nous dégustons une profusion de bonnes choses... Tandis que, bruyamment, sur un chantier de démolition voisin, avec sa pelleteuse, un ouvrier, à sa façon, « casse, lui aussi, la dalle ! », souligne Yannick... Au total, une agréable journée, enrichie par le soleil.
—o0o—
Notez bien : proposée par Colette, la prochaine randonnée aura lieu le 5 juin, à Vezin-le-Coquet.
Rendez-vous à 14 h, place de l'Église, pour de nouvelles aventures.
Miniac sous Becherel est une commune de 788 habitants. Nous sommes 19 et partons de l’église Saint-Pierre en passant devant une jolie maison bien rénovée avec un ancien puits.
Les différents champs, les sentiers, les abords d’habitations sont bien fleuris de différentes fleurs par exemple, de trèfle incarna, de végélia, pavots et de sureau. Nous arrivons aux abords du lavoir de la couaille, beau bâtiment couvert du XIXème siècle en contre bas de la cité fortifiée, c’était un véritable lieu de vie et de sociabilité pour les femmes, « radio lavoir » était l’endroit idéal pour connaître les dernières nouvelles.
Pas toujours facile de passer d’un chemin au champ voisin, heureusement que nous avions de l’aide pour descendre et monter les talus. A l’angle d’un champ nous découvrons les roches du diables, un ensemble de deux menhirs représentant les traces d’une occupation humaine durant la préhistoire….
Notre périple se termine par le goûter habituel dans le jardin menant à la bibliothèque, joli bâtiment aux volets bleus.
Prochain Rendez-vous le jeudi 22 mai avec Jean-Pierre à SAINT JUST,
Jean-Pierre vous indiquera l’endroit exact lors de votre inscription à la marchapié.
Celle-ci, étant à la journée, prévoir un pique-nique.
17 personnes ont apprécié le cadre verdoyant et la richesse du patrimoine de Saint-Sulpice. Départ surprenant dans le bourg parmi des maisons authentiques à pans de bois et torchis (ancienne halle en terre du XIIIème siècle.
Nous nous dirigeons vers les ruines de l’abbaye Notre Dame du nid au Merle (XIIème – XIIIème siècle). Ce monument était sous la dépendance de fermiers. Une abbesse, Marguerite d’Angennes (1580-1662) élevée à ce rang à 29 ans a géré l’abbaye avec la plus grande dignité.
Eglise romane abbatiale en ruines mais gardant ses 2 absidioles intégrales.
Nous quittons cet endroit pour rejoindre le circuit avec quelques difficultés nous obligeant à contourner l’ancien sentier. Nous arrivons à l’orée de la forêt, beau parcours parmi la nature qui s’éveille. Attention en marchant de ne pas trébucher dans les « abats bêtes », nom donné par des randonneurs, aux racines des arbres qui effleurent le sol.
Nous arrivons aux abords de l’étang de Maffrais que nous laissons pour parcourir le circuit écologique qui nous conduit à la fontaine de Saint-Raoul.
La légende raconte que le moine Raoul de la Futaye, fondateur de l’abbaye, chassait une harde de sangliers le cheval s’emballe et se noie dans ladite fontaine avec son cavalier. Suite au décès du Saint, la fontaine devint miraculeuse, guérissant les fièvres et apportant la pluie si nécessaire.
La dernière procession eut lieu en 1976 (année d’une forte sècheresse en Bretagne).
La deuxième légende raconte que Raoul avait construit un ermitage à cet endroit, témoin la croix de granit proche de la fontaine qui indiquerait l’emplacement de ce monument.
Nous terminerons le circuit par la longue allée forestière de Saint-Sulpice, puis vient la pause bien méritée avec nombreuses gâteries sucrées au sympathique bar le Guibra au centre de St Sulpice, ce bar est aussi une épicerie et un restaurant associatif.
Prochain RDV le 24 avril avec Colette sur le parking Rue André Trasbot à Cleunay.
Mardi 18 mars s'est déroulée, à l'espace Grippé, l'assemblée générale en présence d'une centaine d'adhérents.
Photo originale.......Le parc a beaucoup changé! (NDLR). Il faut aller voir!
Ce jeudi 20 février 2025, 17 marcheurs se sont risqués à braver une circulation rendue difficile par les travaux et rues barrées….. , pour venir faire une randonnée autour et dans le parc des Gayeulles à Rennes.
Ce parc, implanté sur une centaine d’hectares de champs au nord-est de Rennes, est aujourd’hui le plus vaste de la ville.
Au milieu d’un paysage naturel où se succèdent : espaces boisés, étangs et clairières, ses multiples activités en font un espace de loisirs aux accents bucoliques.
Crée en 1967, le parc est agrandi d’un ensemble de terrains en 1978 offrant la possibilité de rejoindre la forêt de Rennes sans passer par la route.
A mi-chemin de la balade, la pause obligée (friandises et gâteaux ) s’impose !
C’est désormais un rituel de la « MARCHAPIE » ANR !
Après 8 km de marche, on s’est désaltéré à la Guinguette du parc !
Annie avait confectionné un gâteau aux pommes pour le changement de dizaine de Lionel que l’on a dû déguster à l’extérieur, car les établissements rennais n’acceptent pas que l’on apporte de la nourriture. Bon anniversaire Lionel !
Prochain RDV le 06 mars 2025 avec Colette
Parking du Rond-Point, rue Blouet
Guichen
Notre guide Gaëlle nous attend à l’extérieur pour des premières explications concernant ce bâtiment.
Le couvent créé le 23 février 1369 pour Jean IV, duc de Bretagne, couronné dans la Cathédrale Saint-Pierre à CONDATE (nom de Rennes à cette époque). S’installent bientôt des moines Dominicains. Ils vivent grâce à l’aumône. Ils entretiennent des jardins, des vergers, mangent du poisson, des céréales et très peu de viande. Ils boivent du vin aigre et très clair….
Contrairement à d’autres abbayes le couvent est un lieu ouvert, les moines ne sont pas reclus : c’est un lieu intellectuel, politique et religieux. En 1460 un tableau « La vierge à l’enfant » dit de la « bonne nouvelle » (les origines sont inconnues) provoque un miracle ce qui attire les pèlerins et ainsi les moines s’enrichissent et investissent dans les bâtiments.*
En 1491, visite d’Anne de Bretagne et de Charles VIII qui selon la légende célèbrent leurs fiançailles au couvent et leur mariage au château de Langeais (Indre et Loire).
Au couvent les moines ont été 30 puis 100 et 20 au XVIIIème siècle et leur nombre devenant faible ils louent les bâtiments à l’Armée qui y loge leurs troupes et c’est en 2002 qu’il est vendu pour un franc symbolique à Rennes Métropole.
En 2009 il est décidé de faire du couvent un centre des congrès (Rennes n’en possédait pas) Jean Guervilly et Alain-Charles Perrot en sont les architectes.
De décembre 2011 à juin 2013 commencent les fouilles (800 sépultures, ossements, reliquaires, mosaïques, monnaies sont retirés). Le corps momifié et intact de Louise de Quengo est transféré au cimetière de Tonquédec (22).
En 2014 les premiers coups de pioche commencent et 250 ouvriers se mettent au travail…..
Le couvent est construit sur pilotis, prouesse technique. Le 8 janvier 2018 inauguration officielle du Centre des Congrès. La surface totale est de 12 500 m2.
Tous les deux ans : exposition Pinault, concerts et également concerts de l’orchestre de Bretagne avec un très bel acoustique dans l’auditorium (deuxième sous-sol) de 1200 places.
Beaucoup d’évènements (886 depuis l’ouverture avec 14 % d’internationaux) et Rennes est maintenant reconnu pour ses hébergements et sa proximité de Paris.
Les évènements culturels et professionnels ont attiré (depuis 2018) plus d’un million de personnes.
Merci à Gisèle pour avoir bien écouté Gaëlle , ce qui lui a permis de nous faire un bon résumé
Nous étions 14 et 15 avec le soleil pour la première marchapié de 2025.
Beaucoup d’eau dans les fossés, nous apercevons des jardins et nous longeons de belles propriétés construites avec de la pierre de Montfort. Sur notre chemin un magnifique yucca nous montre sa belle hampe blanche fleurie.
Nous voilà au superbe manoir « la retenue du tertre » datant de 1658, construit sous le règne de Louis XIV. Le propriétaire nous indique qu’il est la cinquième génération à y vivre.
Sur notre chemin nous rencontrons un magnifique bambou sacré arborant ses belles fleurs rouges. Après quelques chocolats une belle surprise nous attend au hameau du « Hill », un sculpteur, Monsieur Louis Houyère, nous invite à découvrir ses œuvres dans son atelier, très surprenantes et à voir si vous êtes de passage dans ce lieu.
Nous retrouvons notre parking de départ, deux gros rochers en forme de table nous accueillent pour disposer : café, gâteaux et chocolats.
Merci à Colette, organisatrice de cette marchapié, l’année 2025 démarre sous de bons hospices….
Prochaine marchapié : rendez-vous le 23 janvier avec Gisèle sur le parking du pont de PACE – balade de la Rossignolière.
Pas très engageant ce jeudi, il avait gelé le matin il faisait très froid et pleuvait par moment.
Comme rien ne nous arrête et que nous aimons nous retrouver nous étions quand même 18 au rendez-vous sur le parking de la salle des sports à Chavagne.
Cette plaisante balade serpente entre bois, étangs et rivière.
Après avoir quitté le centre bourg sous le soleil et emprunté une allée ombragée nous arrivons sur une route au bord de laquelle se trouve le château de la Sillandais du XVIIème avec chapelle et colombier. C’est une belle propriété privée.
Nous nous dirigeons ensuite vers un des nombreux étangs du site pour rejoindre un parking et suivre la rive boisée du Meu. Nous atteignons le parking des Bouvais puis traversons une route pour rentrer dans le bois de la Sillandais, ainsi abrités d’une averse qui vient nous surprendre malgré le soleil (une giboulée de mars avec de l’avance peut-être ?…..)
A la sortie du bois nous regagnons le centre de Chavagne. Sur le parking un beau soleil nous tient compagnie pour notre traditionnel goûter.
Prochain rendez-vous le 4 décembre 2025 avec Huguette à l’église de Saint-Jacques de la Lande – le vieux bourg
Nous sommes 37 au rendez-vous répartis en deux groupes accompagnés de deux guides.
Au départ le guide nous présente les frères Odorico, Isidore et Vincent natifs de la région de Frioul en Italie. Isidore s’installe à Tours puis définitivement à Rennes en 1882. Vincent repart en Italie.
Notre visite commence place Sainte-Anne où existait autrefois, une poissonnerie, nous remarquons les murs avec différents décors bleus. Les couleurs et les ondulations rappellent la mer. L’étal de la poissonnerie est conservé au musée de Bretagne (cet établissement est à présent un magasin de cigarettes électroniques)
Rue d’Antrain l’ex magasin Valton a une façade remarquablement colorée une statue d’Hermès (dieu du commerce) trône en haut du magasin qui est à présent « Le Crazy Républic ».
Nous poursuivons en direction de la rue où se trouvait autrefois « Photo Ouest », devenu à présent « Ses Flaneurs » la mosaïque de couleur ocre, grise jaune des sols est posée en cercle elle est en parfait état
Nous rentrons dans l’hôtel de ville dans la salle « le panthéon » décorée de fresques sur la guerre. Et le rôle des femmes. Le maire Jean Janvier en est à l’origine en 1919 avec l’architecte Le Ray
En sortant de la Mairie nous nous dirigeons vers l’Opéra où le sol de la boutique où se tenait autrefois un fleuriste est très coloré, en rapport avec le thème de la boutique : sol haut de gamme constituée de « Grès Céram ». C’est un magasin de pompes funèbres à présent
Rue Saint-Georges notre guide nous fait remarquer une maison médiévale du XVème siècle qui a échappé à l’incendie de 1720. Nous traversons la rue pour atteindre la piscine Saint-Georges dont Jean Janvier (Maire de Rennes) avait décidé la construction en 1923. Sur le lieu actuel de la piscine se trouvait une abbatiale des bénédictines. L’extérieur est orné de coquilles Saint-Jacques et autres crustacés.
A l’intérieur le bassin est entouré de 30 cabines. Des frises vaguelettes ornent le fronton du bassin ainsi que des émaux de différentes couleurs, c’est un bijou aquatique classé monument historique depuis 2016.
Nous nous dirigeons vers l’avenue Janvier où se trouve l’immeuble Poirier datant de 1931, décoré par Odorico et rénové en 2016/2017 par une famille italienne de mosaïstes « les Patrizio », installée à Marseille. C’est une œuvre de l’époque art déco.
Nous arrivons dans la rue Joseph Sauveur ou se trouve la dernière maison Odorico, au décor jaune à l’extérieur. L’intérieur est orné de mosaïques au sol, au mur, dans la cage d’escalier et même au sous-sol. L’incontournable est la salle de bain au décor magnifique. Actuellement cet établissement est une crêperie nommée « Bretone ».
Le dernier atelier Odorico a été fermé en 1978.
Très belle visite qui nous fait découvrir Rennes différemment en se promenant nous chercherons de nouvelles mosaïques que le guide nous aurait cachées….Gisèle
Rendez-vous sur le parking de l’étang de Saint-Gilles : nous sommes 22.
Nous nous dirigeons vers le bourg pour emprunter la route de Montfort vers le hameau de la Saudrais.
En déambulant à travers les chemins bocagers et les petites routes de campagne nous découvrons des maisons de bauge, résultat du mélange de terre et de paille une des caractéristiques des maisons d’Ille et Vilaine.
Nous passons au pignon de la ferme du Puits Gaillard avec vue sur une route enherbée qui débouche à l’entrée du hameau de la Croix d’Alliance pour atteindre la maison de Launay Vaurouil.
Nous arrivons en face d’un champ tout fleuri de bleu, il s’agit de la phacelie qui est un engrais vert empêchant les mauvaises herbes de pousser tout en améliorant la structure du sol en l’aérant. Regardez ce papillon se délectant de cette fleur (photo prise par Odile).
Notre balade nous mène près d’une belle bâtisse qui malheureusement est peu visible de la rue, c’est le château de Cacé datant du XVIIème siècle.
Nous passons à proximité des bâtiments de l’INRA (Institut de Recherche Agronomique) spécialisé ici dans l’élevage de porcs et des vaches laitières.
Nous arrivons près de l’étang habité par de nombreux canards. Sous un soleil radieux nous faisons le tour, une boîte à livres bien achalandé attire notre attention ainsi qu’une belle oie blanche qui semble nous accueillir.
Après 8 km nous apprécions de nous asseoir sous le kiosque pour déguster le traditionnel goûter copieux et très apprécié.
Prochain rendez-vous le 6 novembre 2025 à 14 h 00 (pour les personnes inscrites) au 1 rue de Saint-Malo (office de tourisme) circuit de 1 h 30 à la découverte des mosaïques d’ODORICO.
Rendez-vous était donné à l’église St Malo, dont le porche est pourvu d’une voûte carénée et qui date du début du 16e siècle. Malheureusement, il ne faut pas essayer de se repérer à son clocher, car il est posé à même le sol, l’église étant en pleine restauration.
Ce sont donc 20 marcheurs qui prennent le départ sous un ciel nuageux mais sans pluie.
Nous suivons une rue du lotissement des Villebertes et passons sur un petit pont de bois qui enjambe le ruisseau du vallon de la Berthelotière. Ce ruisseau a retrouvé son tracé originel par le comblement de l’étang du même nom. Puis nous longeons la voie ferrée et arrivons à la halte SNCF, dont le mur décoré par des enfants du centre de loisirs a vu ses couleurs pâlir au fil des ans.
Après avoir contourné une petite partie du bourg par des sentiers de lotissements, nous arrivons, par la coulée verte, au parc du Pont Liard, appelé « Les mille ruisseaux », avec son lavoir, le ruisseau du Trémillé et divers aménagements décoratifs et écologiques.
Ensuite, nous nous dirigeons vers le domaine du Fresne, en suivant un chemin bordé d’essences variées, dont des arbres fruitiers, tels que des pruniers, encore chargés de fruits, des noisetiers et des néfliers du Japon. Ce domaine est composé d’anciens bâtiments agricoles (le pignon de la maison d’habitation est recouvert d’une magnifique fresque très chouette), une grange en terre du 16e siècle, des jardins familiaux et un verger conservatoire de pommiers. La commune a également planté des poiriers et divers petits fruits, tels que des cassissiers, framboisiers et groseilliers.
Retour à l’église, en longeant à nouveau le chemin des Villebertes, toujours aussi agréable et ombragé. Gaston, son créateur et propriétaire n’est plus, mais la partition de la chanson de Georges Brassens « auprès de mon arbre » nous le rappelle.
Au retour, avant de nous séparer, nous partageons plusieurs gâteaux et boissons sur une des immenses tables des Jardins du Presbytère, devenu lieu de festivités et de détente pour les familles Breteillaises, avec des espaces verts et ombragés, des allées bordées de cosmos multicolores, des jeux en bois et un ponton qui borde la mare colonisée par des grenouilles.
Prochain rendez-vous le 2 octobre à 14h00 sur le parking du Roazhon Park à Rennes avec Nicole Le Diraison.
Un démarrage de la marchapié (après les vacances) sur les chapeaux de roue…rendez-vous sur le parking du Ponant et nous voilà 32 personnes en pleine forme.
Le ciel est des nôtres, le soleil est présent et nous commençons notre parcours en empruntant les allées du vieux logis pour arriver devant la magnifique médiathèque baptisée « totem » puis nous nous dirigeons vers le bois de l’Andume (ce nom vient du lieu-dit où se trouvait une ferme autrefois) nous arrivons devant un superbe champignon orangé nommé polypore soufré accroché sur le tronc d’un chêne. Dans ce nouveau bois des arbres fruitiers à disposition des Pacéens.
Nous poursuivons notre chemin dans la bonne humeur et nous trouvons notre ancien bureau de poste rasé pour laisser la place à un immeuble destiné à la gendarmerie. Nous arrivons au Pont Amelin où la commune plante un arbre chaque année pour matérialiser les naissances. Arbres fruitiers qui régaleront les Pacéens dans quelques années. l’arbre de l’année 2025 est un prunier
Nous longeons la Flume, quel bonheur, la rivière a fait le plein d’eau et nous apercevons des racines exubérantes avec des formes irréelles.
Notre balade nous conduit au fond du lotissement de la Claie, nous marchons sur des pierres qui correspondent à l’ébauche de futurs chemins, ces carrés de granit proviennent de maisons qui ont été abattues dans le centre du bourg de Pacé nous avions pensé qu’il s’agissait de vestige d’un chemin romain qui aurait été découvert lors des travaux du lotissement …dommage la réalité dépasse la fiction
Dans le bois de Champagne nous empruntons un pont de singe qui permet de traverser la rivière d’une rive à l’autre non sans un peu d’appréhension car il bouge un peu lors de son passage.
Petit regard vers le ciel qui devient menaçant et le tonnerre se fait entendre mais le circuit touche à sa fin et d’un pas alerte nous terminons «au bar » où nous sommes accueillis avec un grand sourire. Les « vachoux », les différents gâteaux et les chocolats sont bien appréciés. Après l’effort, le réconfort…
Merci à tous les participants et à cette marchapié de 7,5 km qui a permis des retrouvailles dans la bonne humeur.
Prochain rendez-vous avec Odile et Yannick le 18 septembre sur le parking de l’église de Breteil.
10 marcheurs s’étaient donnés rendez-vous au port du Lyvet et la Viconté S/Rance.
Nous partons de l’écluse du Chatelier qui marque la limite entre la Rance fluviale (eau douce) et la Rance maritime aux eaux saumâtres, soumise aux marées de l’usine marémotrice. L’écluse a été livrée à la navigation le 2 juillet 1937. Le pont qui enjambe actuellement la Rance date des années 1950. Dans les années 1960 on rajoute un système de pont à bascule sur une partie de la nouvelle construction permettant le passage des bateaux à voiles de plus en plus fréquents qui utilisent cet estuaire entre la manche et l’océan atlantique.
Ces bateaux ont remplacé les chalands qui transportaient autrefois les marchandises qui transitent à présent par les chemins de fer.
Construites en même temps que l’écluse, les trois maisons éclusières forment un bel ensemble de couleur bleue. Tout au long de notre parcours de nombreux carrelets attirent notre attention. Ce sont des baraques de pêcheurs construites sur pilotis. Plusieurs sont très abimées. Des bénévoles vont leur donner une deuxième jeunesse, l’une d’entre-elle a retrouvé une fière allure.
Le viaduc de Lessard qui fait 32 mètres de haut est destiné au passage d’une ligne de chemin de fer reliant la Bretagne à la Normandie.
Nous parcourons de nombreux sentiers dans un bois pour arriver au village de Morgreve ou du moins ce qu’il en reste. En face de nous, de l’autre côté de la Rance, le château de Rochefort se reflète dans l’eau. Nous atteignons le belvédère sur les hauteurs du moulin du Prat où nous piqueniquons. Après avoir repris des forces nous descendons jusqu’au moulin, une chance nous avons pu rentrer sur le site car des ouvriers y travaillaient et nous proposent de le visiter. Nous revenons sur nos pas en empruntant un chemin très escarpé qui nous a fait râler un peu….dur dur de monter, Huguette nous l’avait bien caché…
Après nos 8 km nous revenons au parking, Huguette nous propose de la suivre à son domicile pour un sympathique goûter.
Rendez-vous à présent le 4 septembre avec Claire sur le parking du Ponant à Pacé .
En attendant bonnes vacances à tous.
Malgré les prévisions météo médiocres les 18 marcheurs du jour se retrouvent pour un après-midi toujours bien apprécié grâce à des échanges qui nous font du bien à tous (c’est une bonne thérapie….)
Nous partons de l’église de Vezin de fondation romane, elle a été donnée aux Chanoines de Rennes au XI siècle, reprise en partie au XV siècle et transformée en 1820
Vezin compte 6441 habitants au 1er janvier 2025, le centre bourg n’a pas beaucoup évolué, par contre aux alentours nous pouvons voir des quartiers résidentiels composés d’immeubles modernes et de belles maisons individuelles. Nous passons devant le banc des amoureux et déambulons sur de beaux sentiers plantés d’arbres odorants comme les tilleuls, le jasmin et pleins d’autres essences
Connaissez-vous l’amélanchier ? Colette nous présente cet arbre aux petites baies rouges comestibles très sucrées.
Après 8 km nous revenons près de l’église pour prendre notre goûter habituel la pluie nous ayant épargnés.
Prochain rendez-vous le 19 juin sur le parking de l’étang de Matelon à la Chapelle des Fougeretz
Une belle réunion régionale
À Paimpont, le 22 mai, pour la traditionnelle journée régionale annuelle, nous étions 57, venus, comme de juste, des quatre départements bretons. Cette année, l'organisation en avait été confiée à l'ANR 35 et, disons-le tout de suite, ce fut un beau succès.
Après le café de l'accueil, augmenté du plaisir des retrouvailles, nous nous rendons sur le site des Forges. Nous y sommes accueillis par les propriétaires, descendants des derniers maîtres de forges. L'endroit est remarquable, à une époque où il ne reste que peu de sites industriels hérités du passé.......................
Vous trouverez la suite de ce texte dans le prochain "écho de l'ANR 35 " N° 74 qui sortira fin juin. Merci à Jean Pierre pour cette jolie prose si agréable à lire.
En attendant, vous pouvez voir la centaine de photos prises au cours de cette journée en cliquant sur la photo ci-dessus.
La Courrouze ancien arsenal a 20 ans. Ce quartier est situé au
Sud-Ouest de l’agglomération à cheval sur la commune de Rennes et de Saint-Jacques de la Lande.
Il y a 40 hectares d’espaces verts sur une superficie de 115 hectares. 6 000 habitants y vivent actuellement, à terme en 2030 il y en aura 11 000.
Nous déambulons dans une forêt à dominante de chênes sur des chemins dans les sous-bois où l’architecture moderne se marie avec une nature à peine domptée. Sur
les murs et armatures métalliques en ruines les amateurs de Street art s’en donne à cœur joie, nous pouvons voir le portrait du célèbre et mystérieux graffeur rennais WAR, réalisé par AERO (voir
photo).
Qui dit ancien site industriel, dit pollution. Certaines plantes comme le tournesol, la moutarde, l’ail…..ont été plantées afin d’extraire les polluants grâce à
leurs racines c’est-à-dire en terme technique LA PHYTOREMEDIATION. Lorsqu’elles sont gavées de plomb et de zinc….elles sont coupées.
Notre parcours nous conduit devant la maison des compagnons du devoir. En face de la voie ferrée nous découvrons le quai des déportés qui rappelle l’horreur des
nazis qui en ce lieu déportèrent plus d’un millier d’hommes et de femmes dans des wagons à bestiaux vers les camps de concentration.
Ce parc est un endroit à découvrir en se promenant même avec des enfants ou des jeux sont adaptés à leur âge (skate, moutonium, etc…)
De retour au parking après 9 km les 17 marcheurs se sont retrouvés au centre social le BAM (bâtiment à modeler) ou Gisèle, nouvelle venue dans le groupe, a fêté
son arrivée.
Prochain rendez-vous le 15 mai 2025 avec Huguette près de l’église de Miniac Sous
Bécherel
Si la pluie qui tombe en ce début d’après-midi pensait nous décourager, c’est mal nous connaître ! Nous sommes 20 dans les starting-blocks, prêts à fouler les allées et sentiers de Chartres de Bretagne.
Nous entrons dans le parc de loisirs, très verdoyant et pourvu d’un petit plan d’eau. Sa surface de 10 hectares, anciennement lieu-dit La Chaussairie, se trouvait pour moitié sur la commune de Bruz jusqu’en 1974. Il est traversé du nord au sud par un ruisseau, la Mécanique, qui se jette dans la Seiche.
Nous quittons le parc par de larges allées, aménagées entre des quartiers pavillonnaires, pour arriver à un oratoire appelé Chapelle Notre Dame des Potiers (ou Notre-Dame-de-Bonsecours), construit en 1904 et abritant quelques ex-voto. C’est là que se trouvait l’ancien centre bourg de Chartres.
Devant cette petite chapelle, nous avons fait la connaissance de Gisèle, nouvelle marcheuse, que nous avons priée de nous accompagner.
Nous continuons vers La Conterie. Puis, en suivant le chemin d’Orson, nous rejoignons la Seiche. Un large chemin, aménagé à partir de 1992, nous permet de suivre les nombreux méandres de cette rivière de 97 km, qui prend sa source au Pertre en Mayenne, pour rejoindre la Vilaine au Boël.
En revenant, nous apercevons la ferme des Peupliers, ancien manoir dont les bâtiments existants datent de la fin du XVIIe siècle, excepté un petit pavillon carré, beaucoup plus ancien et qui devait être une tour de guet avec un pigeonnier.
C’est alors que Marion et André nous rejoignent et remontent avec nous vers le parc.
En arrivant sur le parking, la pluie avait cessé et Michel s’est joint à nous, pour partager quelques gâteaux « miam miam les gâteaux de Odile et Janie, » avec le café très réputé de Claire, dans la convivialité et la bonne humeur habituelle.
Rendez-vous jeudi 17 avril, à St Sulpice la Forêt, avec Huguette
L’étang de Boulet classé Natura 2000, remarquable plan d’eau de 153 Ha, entouré de forêts est le plus vaste plan d’eau d’Ille et Vilaine
16 personnes sous un temps clément participent à cette agréable marchapié.
Départ de l’église de Feins pour rejoindre la pointe de l’étang en longeant le chemin des tilleuls garni de ficaires communément appelés « boutons d’or » où nous retrouvons quelques randonneurs à la base nautique.
Nous démarrons le tour de l’étang en direction du déversoir dans lequel la rigole de Boulet se déverse.
Rigole créée de 1824 à 1832 servant à l’alimentation des eaux du canal d’Ille et Rance et au maintien d’un niveau constant avec une pente presque nulle.
En 1988 une conduite plus moderne et mieux adaptée a été ajoutée à la rigole. Nous passons près de l’ancienne maison de gardien de l’étang pour nous diriger vers la digue du Marquis traversant l’étang sur lequel apparaissent quelques cygnes.
Nous retrouvons l’autre rive en traversant la digue de Planche Rocher bordant la route de Marcillé-Raoul. A proximité de cette digue quelques oiseaux y vivent toute l’année dont les grèbes huppés nous ont offert quelques plongeons durant notre passage.
Nous poursuivons vers la rive avec des passages surélevés en bois et nous rejoignons la base nautique et des bancs et tables nous attendent pour la traditionnelle dégustation de gâteaux, café, etc….
Nous repartons vers le parking de l’église en admirant une maison de caractère de XVIIIème siècle construite entièrement en granit.
Prochain rendez-vous le 3 Avril 2025 avec Odile et Yannick à CHARTRES DE BRETAGNE, parking centre de loisirs, rond-point Jean Racine et Avenue Constant Merel
Le tour de Guichen est une très belle balade dans la nature avec ses fleurs printanières : primevères, jonquilles, ficaires, mimosa encore très parfumé.
Nous parcourons de jolis sentiers encaissés parfois un peu humides pour certains mais maintenant nous sommes habitués à pire….En levant les yeux nous apercevons différentes formes d’arbres affublés d’excroissances bizarres. Plus loin des panneaux nous demandent d’ouvrir les yeux pour découvrir les oiseaux tels que coucou gris, pic peiche et bien d’autres que nous n’avons pas évidemment le temps de chercher car la route est encore longue.
Guichen est composé de beaux lotissements de maisons modernes et d’autres, construites avec des pierres locales de schiste rouge.
Après avoir terminé la boucle nous rentrons dans cette petite ville dynamique avec ses différents commerces et son église de style néo-classique. Guichen se compose de 8 995 habitants appelés « Guichenais ».
Guichen possède des halles qui servaient autrefois pour le marché hebdomadaire du vendredi et également pour ses foires mensuelles.
Après cette balade de 7 km les 20 marcheurs aspirent à une pause bien méritée (comme d’habitude) : gâteaux, café, chocolats….
ATTENTION : changement au planning pour le jeudi 20 mars 2025 – le pilote sera Huguette (tél 06 78 30 97 07 ou 02 99 63 58 38) pour une marchapié à FEINS
Rendez-vous à l’église de Feins
16 randonneurs affrontent les éléments pour parcourir le circuit particulièrement humides de la Belle Visée à Saint-Grégoire.
Direction du restaurant la Belle Ecuelle qui accueille le monde du travail dans la semaine. Nous poursuivons notre chemin vers la cidrerie La Fouinardière. Pour y parvenir nous traversons un champ et un chemin très boueux qui nous mènent enfin sur un chemin carrossable. Nous découvrons la ferme de la Noë et un nouveau chemin nous amène vers les villages du Champ Renard et Cerizeret avec des maisons à colombages
Un joli calvaire nous emmène vers le village de la Belle Visée mais beaucoup d’obstacles avant d’y parvenir : boue, barbelés, eau, chutes etc….Après ce parcours du combattant nous nous retrouvons au bar de la Forge pour un goûter réconfortant.
Prochain rendez-vous jeudi 20 février pour une balade avec Marie-Claire autour du parc des Gayeulles – départ parking de la patinoire Le Blizz – bus C5 arrêt le Blizz.
Nous avions rendez-vous au Pont de Pacé où notre rivière « La Flume » est à un haut niveau. La stèle qui se trouve dans la rivière est presque couverte d’eau. Cette stèle était un point de repère pour les meneurs de chevaux. Le pont de Pacé et le Pont-Réan sont les seuls deux ponts routiers départementaux à être inscrits aux monuments historiques.
Nous poursuivons sur la route, heureusement pas de circulation. De belles demeures, des pelouses, arbustes bien entretenus et le ciel est clément avec nous.
Au bord de la route des champs avec des herbes très hautes et colorées. Il s’agit du Miscanthus de Chine (herbe d’éléphants) produit pour faire de l’agrocarburant utilisé aussi broyé et en paillis.
Nous arrivons au manoir de la « Rossignolière » qui a été restauré. Il date de 1625 et en 1795, lors de la révolution il a été envahi par des chouans qui font beaucoup de dégâts. Il existait une chapelle consacrée à Sainte-Anne, mais trop délabrée elle a été démolie entre les deux guerres. Le chauffage a été installé en 1960 et la température restait basse pour ne pas abimer les boiseries magnifiques ainsi que parquets et l’escalier.(paroles ne notre Maire actuel qui y a vécu)
Surprise sur le terrain près du manoir une girafe en métal ! après avoir parlé de l’herbe à éléphant voici la girafe….
Après cette page d’histoire nous revenons au pont de Pacé où les voitures nous attendent et nous nous dirigeons vers le bourg au bar « chez Loïc ». Tout est prêt dans l’établissement : tables, chaises, etc …Les 18 participants de la randonnée sortent l’approvisionnement : gâteaux, cakes, chocolats, agréable moment de convivialité.
Prochain rendez-vous le13 février avec Huguette sur le parking de l’école de la Rabinardière Huguette vous donnera la route à suivre lorsque vous vous inscrirez
(circuit de la Belle visé St Grégoire)
Nota :La randonnée avait lieu le Jeudi et le vendredi soir notre lieu de rendez-vous et le pont de Pacé étaient sous l’eau, du jamais vu depuis 25 ans !