La saison est repartie pour les «marchapié»
Après un bel été voici la première marchapié à MELESSE
Départ de la salle polyvalente puis contour du futur lotissement du feuil d’une superficie de 21 hectares, par le sud.
Nous avons traversé la départementale 82 Rennes/Guipel, les ollivettes, le Coudray, champ courtin launay.
La partie la plus délicate fut les 300 mètres sur la route reliant Melesse à La Mézière, prochainement ce passage s’effectuera en bordure d’un champ.
Les Milleries avec ses animaux et le camping à la ferme le long d’un chemin rectiligne avec le parc du Quincampoix en face pour une pause bien méritée à l’ombre. Nous rejoignons la Métairie par le parc, sous le pont, la lagune, caserne des pompiers, nous cheminons par la partie boisée des fontenelles et retour par le lavoir.
Tout au long de la balade nous avons cueilli des mûres par ici, des noisettes par-là ainsi que des champignons. Pendant la marche nous avons remarqué de belles bogues de châtaignes qui présagent une bonne cueillette dans quelques semaines.
Prochaine sortie jeudi 26 septembre dans la forêt de Montfort.
Malgré la pluie qui nous a accompagnés une bonne partie du trajet, 9 personnes étaient présentes pour faire la balade au départ de Montfort sur Meu, qui s’appelait Montfort-la-Cane, à l’époque où est né Louis-Marie Grignion, dont la statue trône tout en haut de la tour de l’église.
Nous avons donc rejoint l’orée de la forêt, en longeant le Meu, place des Douves. Un « bateau recycloir » y a été installé dans le cadre de l’exposition végétale des Jardins éphémères (voir photos prises par beau temps).
Après avoir gravi quelques petites côtes, nous sommes arrivés près de la forêt de St Lazare, d’où l’on domine tout Montfort et les environs. Malheureusement, la visibilité était médiocre. Nous sommes redescendus jusqu’au Meu, dont le niveau était très bas et que nous avons suivi jusqu’au centre-ville, avec ses maisons de pierre rouge, en « poudingue de Montfort » et ses nombreux lavoirs.
Au retour, nous sommes entrés dans la cour de la Tour du Papegault, qui abrite également une réalisation intitulée « la boîte à musique merveilleuse ».
Puis nous nous sommes quittés après avoir partagé un petit gâteau et un café.
Prochain rendez-vous jeudi 10 octobre 2019 Saint Sulpice la forêt.
C’était une belle balade pour les 12 marcheurs.
Marchapié particulière étant donné les contraintes de la marée mais avec obstination et satisfaction tous les marcheurs ont surmonté les différents obstacles et une météo capricieuse (orages en cours) mais la pluie était absente.
Grâce à une organisation sans faille de Huguette le bateau était au rendez-vous pour notre retour.
Prochain rendez-vous le 20 juin 2019 au « Pont de Pacé » - Claire Luyer : 06 61 47 10 68
C’est sous un soleil généreux que les quatre départements bretons se sont réunis pour la journée régionale préparée par l’ANR35.
Merci à Claire pour l’organisation de cette belle journée passée à Trémelin. Toutes les activités proposées ont eu du succès et les 110 participants sont repartis avec de la chaleur et du soleil dans les yeux et le cœur.
Nous étions 17 au départ de cette marchapié, qui nous a fait découvrir ou revoir la Prévalaye en plein aménagement.
Après avoir longé le centre d'entraînement du Stade Rennais à la Piverdière, nous avons fait (grâce aux passerelles sur la rocade) une petite incursion en limite du quartier de Cleunay, avec ses grands espaces verts, jeux, barbecue et tables de pique-nique.
Retour à la Prévalaye et ses jardins familiaux, et arrivée à la Butte des Fusillés de la Maltière à St Jacques de la Lande.
Au départ, en 1937, c'était un stand de tir construit par les militaires français. Mais, de juin 1940 jusqu'à la Libération, elle fut occupée par les Allemands, qui en firent un lieu d'exécution des résistants (76 au total).
Nous avons quitté ce lieu de mémoire, pour reprendre notre balade à travers les prairies humides de la Prévalaye et nous avons traversé la rivière Le Blosne, pour arriver aux étangs d'Apigné, que nous avons contournés jusqu'au chemin de halage de la Vilaine.
Puis, nous avons rejoint la rabine de la Prévalaye et l'écocentre de la Taupinais, aux bâtiments de pierre (anciens corps de ferme) magnifiquement rénovés.
Enfin, retour au point de départ, pour partager un petit goûter rapide, car la pluie commençait à tomber.
Prochaine marchapié le 06 juin La Rance maritime. Tous les malouins sont attendus.
Contacter Huguette Farcy 06 78 30 97 07
Le 10 mai, 23 personnes prennent la direction de Nantes, pour se rendre aux 12 ièmes Floralies Internationales dans le Parc de la Beaujoire sur le thème « Fleurs à vivre » inspiré d'une citation de Montaigne " Si la vie n'est qu'un passage, sur ce passage au moins semons des fleurs "
Sous une pluie fine, nous patientons pour accéder dans les halls d'expositions composes de 7 ambiances ornementales principales, d'un jardin jeunes créateurs, d’un univers dédié à l'artisanat d'inspiration végétale, d'un espace déco floralies consacré aux nouvelles tendances jardin ainsi que d'alcôves réservées à l'application numérique. Un déjeuner nous a rassemblés et nous repartons reposés pour compléter la fin de la visite. Vers 17h30 reprise de l’autocar.
Nous étions 39 pour cette escapade à Morlaix qui a commencée par un parcours en petit train sous une météo très frisquette.
Le repas au restaurant « An Dol Vad » (la bonne table) nous a ravigotés avant de poursuivre vers Carnoët et la Vallée des saints qui totalisent actuellement 113 statues monumentales de 4 mètres de haut en moyenne, l’objectif du site étant d’atteindre 1000 à l’effigie des saints bretons.
Agréable journée, dommage que le soleil nous ait fait faux bond.
Randonnée en Brocéliande. Grand soleil, 20 randonneurs, dont 2 enfants.
TREHORENTEUC :
10 h : Départ pour la visite de l'église dite du Graal qu'Huguette nous commente.
Simple et dépouillée, en schiste pourpre, au cœur du village, elle offre un ensemble mythique et mystique tout à fait exceptionnel…
C'est l’abbé Gillard qui arrive à Tréhorenteuc en 1942. Il s’enthousiasme pour la force des légendes et la proximité de Brocéliande. Il entreprend de remodeler son église pour célébrer la foi, la tradition celtique et la légende du Graal.
A la fin de la guerre, les autorités lui confient 2 prisonniers allemands, un ébéniste et un peintre. Guidés par l’abbé Gillard, ils réalisent le chemin de croix, ainsi que les tableaux du chœur (consacrés aux légendes de la fontaine de Barenton, à l’apparition du Graal, à la Table Ronde, à Saint Judicaël et à Sainte Onenne).
Puis direction la forêt profonde de Brocéliande. Nous arrivons aux abords de l'arbre d'or.
Septembre 1990 : 2 incendies ravagent le Val sans Retour et les landes avoisinantes. Pour se souvenir, il fallait un symbole. Ainsi, un châtaignier extrait de cet endroit fût recouvert de 5000 feuilles d’or. Il est entouré de 5 chênes calcinés pour symboliser la renaissance après la mort... Cette "sculpture" est installée au bout de la digue du miroir aux fées.
Ensuite, nous poursuivons notre périple au travers la forêt. Les ajoncs ainsi que les genêts sont superbement fleuris : la lande est magnifique. Le murmure d'un petit cours d'eau nous accompagne. Nous dominons le miroir aux fées.
12 h : Retour au village.
PAIMPONT :
Pique-nique bien mérité.
Départ pour notre "périple" de l'après midi.
Passage devant la magnifique abbaye qui abrite la mairie ainsi que l'église du XIII siècle.
Ensuite, nous nous rendons à la grotte de Notre Dame de Paimpont. Au bord de l'étang, cette grotte, serait, selon la légende, l'endroit où la vierge apparut à St Judicaël au VIIème siècle : lieu extrêmement bien tenu et très calme.
Puis, nous entreprenons le tour de l'étang : 4 km. Un espace naturel remarquable qui abrite de nombreuses espèces animales et végétales. Autour du plan d’eau, un circuit aménagé nous guide à travers un milieu naturel : la tourbière.
16 h : Petit goûter réconfort après l'effort.
prochaine marchapié le jeudi 2 mai 2019 direction Le Boël (Pont-Réan)
10 personnes étaient au rendez-vous, frais et dispos pour la cluse du Boël et son moulin très apprécié de tous.
Le moulin du Boël de 1652, situé dans une vallée encaissée compte sur l’énergie du courant pour servir à moudre du blé en 1886.
Sa forme en éperon lui donne une structure capable de résister à la force de l’eau. Le moulin classé depuis 1933 appartient désormais à la commune de Bruz.
Nous nous mettons en jambes en suivant le halage très verdoyant jusqu’au pont qui enjambe la vilaine près de la halte ferroviaire de Laillé que nous contournons pour nous diriger vers les collines de Bagatz.
Nous apercevons le château de Bagatz lieu où l’on captait des sources d’eaux minérales abandonnées aujourd’hui, ce château est devenu un lieu privé.
Nous descendons au village Vauthebault en bifurquant au niveau d’un calvaire pour descendre dans un chemin étroit, pentu et rocailleux.
Nous traversons le village du Boël : habitations aux maisons de caractère en schiste rouge (coloration due à la haute teneur en oxyde de fer).
Au niveau du passage nous grimpons un versant abrupt, le chemin serpente en bordure de falaise (très belle vue sur la Vilaine et le Moulin)
Nous redescendons par une ancienne carrière pour rejoindre le halage et nous regagnons le parking du Boël en passant sous le pont de chemin de fer.
Une bolée de cidre, quelques gâteaux et du café nous attendent avant de nous quitter
Prochain rendez-vous le jeudi 23 mai sur le parking du « Leclerc » à Cleunay (au niveau du Flunch) pour une marchapié à la prévalaye et aux étangs d’Apigné.
Informations et bulletin d'inscription en cliquant sur l'image.
Qu’elle n'était pas engageante cette rando à cause de la météo !
Au final pas une goutte d'eau, des chemins pas trop sales en sous-bois et une multitude de fleurs sauvages (à noter la fleur mauve appelée "la clandestine" car elle ne possède pas de feuille) et d'arbres fleuris sur le chemin de la Moltais. Pour terminer une petite collation à l'abri quand même.
Prochaine rencontre jeudi 18 avril 2019. Circuit autour de Paimpont.
Un temps doux et un soleil un peu timide ont accompagné notre petit groupe de 13
marcheurs dans la découverte des gravières de Bruz et des bords de la Vilaine.
Partis de la gare, nous avons suivi des chemins piétonniers pour traverser les lotissements et rejoindre le hameau du Marais, composé de plusieurs maisons rénovées avec goût et originales pour certaines.
Nous nous sommes arrêtés quelques instants pour admirer quelques poules singulières : une poule soie toute blanche et une araucana, qui n’a pas de queue et qui pond, semble-t-il, des oeufs bleu-vert.
Nous avons rejoint le chemin de halage, passé l’écluse de Mons, où la Vilaine est canalisée et où quelques péniches sont amarrées. Nous sommes passés près du domaine de Cicé-Blossac, où les bâtiments du complexe hôtelier sont en bois et construits sur pilotis au bord de
gravières.
Sur l’autre rive, nous avons aperçu le château de Blossac, puis la Maison du Gravier, demeure construite avant 1830 et qui domine la Vilaine.
Nous avons traversé le bois de Cicé et longé une gravière, où un cygne magnifique nous a fait l’honneur de sortir de l’eau et de prendre la pose pour la photo. Il ne manquait que la musique de Tchaïkovsky !
Nous sommes revenus vers la gare en traversant le domaine du golf, puis le bois du Vert Buisson.
Bien évidemment, nous nous sommes empressés de reprendre les calories perdues, en partageant quelques gâteaux et chocolats !
Ils sont venus d’outre Vaunoise mais aussi d’au-delà de la Flume et ils ont marché sur Saint-Gilles. Seize paires de ripatons au départ mais toujours 16 paires à l’arrivée et les petits ripatons ont rivalisé d’endurance.
Le groupe, parti d’un pas uni, emprunte cette zone dite « coulée verte ». En passant par les bassins tampons une question me titille : les passages de routes en hauteur s’appellent des viaducs ; les conduites d’eau en hauteur s’appellent des aqueducs, les passages souterrains pour batraciens se nomment « crapauducs » ; les passages souterrains pour bovins sont des boviducs ; mais alors, un passage aménagé pour moutons sous un pont se nomme-t-il « oviduc » ? Volatiles de l’oreille en coin, pour faire une omelette ne vous mêlez pas les pattes : « oviduc » ou oviducte : quel caquetage !
Nous marchons vers le Sud-Ouest : au départ le toit des maisons est en double pente, en ardoise, signes apparents d’une région pluvieuse et là, même pas une demi-encablure, des toit plats, des toits en zinc : n’est-ce pas les caractéristiques des maisons du soleil ? et le soleil est là…
Sorti des lotissements le groupe chemine sur des chemins calibrés et ensablés de frais : le pied pour marcher : marathoniens et autres adeptes des courses pédestres les fouleront le 2 mars. Des sentiers bordés d’arbres et des arbres qui n’attendent qu’un signal de la nature pour dévoiler leurs feuilles, des sentiers portant parfois les stigmates des charrois printaniers et Huguette se laisse aller à quelque cabriole.
Et cette marche ? Une marche solidaire !
La colonne s’est vite scindée en 3 sous-groupes : en tête ceux qui ont des semelles gonflées à l’hélium, à quelques décamètres les chaussures en « pattes au biogaz » et plus loin les « ruse-boutous ». A chaque embranchement de chemins le groupe de tête attend les « ruz-boutou ».
Nous sommes dans une région d’élevage, nous respirons le bon air de la campagne, mais alors, où sont les herbivores qui font la réputation du beurre breton, où sont les omnivores qui sont à la base des charcuteries, où sont les poulets produisant les œufs pour notre kouign-amann ? En fin de balade nous verrons enfin, dans un enclos, 2 chevrettes naines et 2 gallinettes...
Un passage en zone humide, des trous d’eau, vestiges probables de petites carrières de sable : mais qu’est-ce ? : Ce terrain en cours d’aménagement permanent, ce compromis entre Orient et Occident, cette exposition de statues Thaïes, et l’allée de palmiers Himalayens, et les portails en fer forgé ?
Les chaussures sont d’endurance mais les mollets ne le sont pas obligatoirement. Telle ou telle nature renâcle mais passé la casse de Cacé : c’est le signe du retour. Des chênes multi-centenaires surplombent le chemin. Sous le sceau du secret, Chloé, Marceau et Amaury, les jours de grand vent les branches racontent qu’il fut un temps où les gaulois, carriole tractée par un bœuf, empruntaient ce chemin creux pour leur liaison commerciale entre Pacé et Montfort. Les Korrigans m’ont même dit qu’il leur est arrivé de voir, par beau clair de lune, Obélix, Idéfix et Astérix postés en embuscade sur une branche haute, prêts à fondre sur une cohorte de romains. D’ailleurs là-haut ces touffes de gui et au sol les saccages d’une horde de sangliers laissent à penser que c’est bien possible.
Le groupe longe l’enceinte de l’INRA : pôle de recherche française en génétique porcine ; les bâtiments, de l’autre côté de la route, sont ceux dédiés à la récolte et à la diffusion de la semence pour la Bretagne.
Ah ! voici enfin l’étang. Les coiffeurs de la nature ont harmonisé la végétation, l’eau reflète la luminosité du ciel, les enfants s’interpellent dans l’espace de jeux et le parking, intronisé gardien de nos voitures, nous voit, en fin de balade, un gobelet de jus d’orange à la main.
Les techniciens soliloqueront : 9,4km, 4,2km/h (temps d’attente décompté pour les semelles d’hélium) : Il est environ 17h : les fourbus rentrent chez eux...
Le Président du Comité Départemental et les membres du bureau du groupe ANR Ille et Vilaine vous présentent leurs Meilleurs Vœux pour l’année 2019.
Deux voyages sont organisés cette année:
- du 25 mai au 01 juin à l'île de Ré
- du 15 au 22 juin 2019 au club Belgodere dans le golfe de Lozari Corse (Complet).
Il reste 1 place pour l'île de Ré. Contact Michel Allaire 0681734042
lLe sentier de la barbotière
Nous étions 12 à découvrir Brécé, son centre et sa campagne ainsi que la vallée de la vilaine.
Grâce aux chemins ruraux nous avons sillonné la campagne en longeant parfois des prairies pâturées par des animaux, celles-ci ne sont accessible qu’aux piétons (sans chiens). En suivant le ruisseau de la Barbotière nous avons apprécié le charme des sous-bois du vallon ou nous avons découvert des « débroussailleurs » écologiques que sont les moutons d’Ouessant qui étaient très nombreux étant donné les récentes naissances des agneaux de Pâques.
Au cœur de la commune un espace de verdure autour d’un ruisseau permet aux petits et aux grands de se détendre.
Balade pas très longue mais très agréable (malgré quelques giboulées de mars) dans ce théâtre de verdure.
Comme d’habitude nous avons apprécié la pause-café/gâteaux au pied de cette église érigée en 1158 par le seigneur de Gosné.
Encouragés et Top départ donné par Sylvie (notre future présidente ANR ?) 15 marcheurs(euses) ont profité d'une journée ensoleillée pour parcourir une boucle de 9 km au Nord de Rennes.
Partis de La Bellangerais, nous avons rejoint le canal d’Ille et Rance vers St Grégoire jusqu'au moulin de Charbonnière situé dans un cadre magnifique !
Puis direction le parc des Gayeulles via Maison Blanche et le village de la Trudais.
Nous sommes revenus à La Bellangerais en empruntant "La coulée verte" : ballade piétonne et verdoyante qui va de St Laurent-les Gayeulles au centre ville de Rennes.
Et toujours dans la bonne humeur nous avons partagé un goûter !
Marie Claire
Prochaine marchapié mercredi 20 février à Saint-Gilles
Cet après-midi, 18 marcheurs sont partis à travers la campagne de La Chapelle Thouarault pour une promenade champêtre.
Il faisait beau et doux, et nous avons parcouru près de 9 km sur des chemins de terre, enherbés ou empierrés.
Nous avons traversé quelques hameaux aux maisons joliment restaurées, puis nous sommes revenus vers le bourg en remontant la coulée verte.
Aujourd’hui, pas de champignons intéressants, seulement un essaim au pied d’un chêne, heureusement vide des ses occupants !
Avant de nous séparer, nous avons partagé gâteaux et boissons, pour un petit moment de convivialité.
Prochain rendez-vous le 22 novembre à Mordelles.
Malgré une matinée pas très engageante nous étions 13 pour la rando de Mordelles Nous avons longé les trois étangs et continué jusqu’à l’ilot du moulin bien restauré en gîtes. Puis passage par le parc de la Perruche et plus loin par le parc du Pressoir ou malheureusement les cyclamens avaient pratiquement disparus. Nous avons admiré le Meu bordé d’arbres aux couleurs automnales puis découverte des jardins familiaux (J Michel avait la patate!!!!!!). Ensuite route du retour vers les étangs et le point de départ sans pluie. Comme d’habitude un réconfort (café, jus de fruits, cidre, gâteaux et chocolats maison élaborés par mes soins et la participation de Nicole) nous attendait et était le bienvenu.
À jeudi 6 décembre.
Les adhérents s'investissent dans de beaux projets, Ginette est l'épouse de Janek qui est maintenant responsable de la section ANR de Vitré
Nous étions 11 pour la dernière ballade de l'année au départ des chèques. Nous nous dirigeons vers la MJC la Paillette et traversons le petit pont pour apercevoir le cimetière où reposent les sœurs de St Cyr. Nous passons derrière les Horizons, 2 tours de 30 étages datant de 1969, La promenade longe un bras de la Vilaine, après le métro Anatole France, nous le retrouvons devant la maison d’architecture, le lavoir récemment rénové, pour nous retrouver vers les Prairies St Martin où nous avons admiré l'ancien séchoir. Nous traversons le parc des Tanneurs pour ressortir rue de Dinan, puis la ruelle aux chevaux pour déboucher rue de St Malo qui nous conduit vers les Jacobins, la rue de St Melaine. Nous traversons le Parc du Thabor, pour passer devant le palais St Georges. Puis la rue du même nom, le Parlement, direction le Mail et son marché de Noël. Avant de se séparer, nous dégustons un vin chaud dans l'ancien café « l 'Aiglon » sources de bons souvenirs à tous. Bonne Année à tous.
Prochaine marche le jeudi 10 janvier 2019 Le Rheu (voir bulletin 60)
13 randonneurs pour cette marchapié
Quelle belle idée, avant le retour de la morte saison que d’aller visiter le pays gascon.
Nous étions 26, destination Barbaste où, depuis le Moulin Neuf, nous étions enthousiastes à l’idée de nous promener dans ce lieu enchanteur du jardin des Nénuphars, clin d’œil à Claude Monet captivant les couleurs.
Sans doute la commanderie des Templiers, sur le chemin, devait nous rappeler que dame Nature, hélas, a dû lutter sous d’autres cieux, pour nous offrir aujourd’hui ce cadeau précieux.
A quelques lieues de là, le vieux Nérac nous attendait, Le rendez-vous manqué d’Henri IV avec Fleurette statue dans le parc de la Garenne.
Sur la Baïse, le fidèle prince Henry nous conviait à la croisière pour nous présenter son patrimoine dont il était si fier.
Notre excursion à Condom nous a conduits vers D’Artagnan et ses trois mousquetaires : ce fut un retour dans le temps. Au château de Cassaigne, « épreuve » dégustation, avant que la collégiale de la Romieu nous ramène à la raison.
Le Bassin d’Arcachon valait aussi le détour, ainsi que les villas de la ville d’hiver dans leurs plus beaux atours.
Enfin Bordeaux, dans toute sa grandeur ! Les scintillements de « l’ange bleu » comme un avant-goût de splendeur. Parcourir la vieille ville fût un enchantement que Montaigne et la Boétie auraient apprécié assurément. Du Miroir d’eau à la cité des vins nous avons savouré une balade agréable. Mais Montaigne déjà n’affirmait-il pas que « le voyager est un exercice profitable »
Colette Gloanec
Le bulletin N° 57 est disponible ici
L'echo de L'ANR 35 N° 55 est disponible ici
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